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  • Auteurs: Caroline Quine
  • Auteurs: Jean Glachant
Alice et la poupée indienne (Caroline Quine) - Bibliothèque verte N° 453 - Hachette
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N° 453 - Alice et la poupée indienne (Caroline Quine)

2,56 €
Au fin fond de l'Arizona, existe un vieux ranch sur lequel place une malédiction. On prétend que des chefs indiens lui auraient jeté un sort. Par esprit de vengeance… Depuis, les Kachinas, ces poupées indiennes aux étranges pouvoirs, hantent la propriété. Alice et ses amies Bess et Marion ne vont pas se laisser impressionner par ces légendes d'un autre temps. Elles n'hésiteront pas à affronter les pires dangers pour traquer l'être sans scrupule qui se sert ainsi de la crédulité des gens ! L'imposteur sortira-t-il enfin de l'ombre ?

Une enquête des soeurs Parker : Le rubis clignotant (Caroline Quine)

12,00 €
« Je vous en supplie,… sauvez Sergio !… Le rubis clignotant…, il faut faire vite ! » Telles sont les dernières paroles que Gino Marzi adresse au capitaine Parker avant de tomber dans le coma. Le capitaine du Balaska révèle cet étrange message à ses nièces, Liz et Ann, et les charge de résoudre le mystère. Qui est Sergio, et quels liens a-t-il avec Gino Marzi ?…

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…
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