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  • Auteurs: Caroline Quine
  • Auteurs: Jean Vignaud
Alice et la poupée indienne (Caroline Quine) - Bibliothèque verte N° 453 - Hachette
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N° 453 - Alice et la poupée indienne (Caroline Quine)

2,56 €
Au fin fond de l'Arizona, existe un vieux ranch sur lequel place une malédiction. On prétend que des chefs indiens lui auraient jeté un sort. Par esprit de vengeance… Depuis, les Kachinas, ces poupées indiennes aux étranges pouvoirs, hantent la propriété. Alice et ses amies Bess et Marion ne vont pas se laisser impressionner par ces légendes d'un autre temps. Elles n'hésiteront pas à affronter les pires dangers pour traquer l'être sans scrupule qui se sert ainsi de la crédulité des gens ! L'imposteur sortira-t-il enfin de l'ombre ?

Une enquête des soeurs Parker : Le rubis clignotant (Caroline Quine)

12,00 €
« Je vous en supplie,… sauvez Sergio !… Le rubis clignotant…, il faut faire vite ! » Telles sont les dernières paroles que Gino Marzi adresse au capitaine Parker avant de tomber dans le coma. Le capitaine du Balaska révèle cet étrange message à ses nièces, Liz et Ann, et les charge de résoudre le mystère. Qui est Sergio, et quels liens a-t-il avec Gino Marzi ?…

La maison du maltais (Jean Vignaud) - Collection Gründ illustrée N° 16

4,50 €
Extrait : Chapitre VII Le matin jeta dans la rue un autre Matteo, un Matteo impatient, qui, dans sa hâte de se mettre au travail, bouscula sans le reconnaître le fumigateur dont l'encens parfumé de benjoin distribue, pour la semaine, du bonheur dans chaque maison. Franchie la Porte de la mer, il enleva ses sandales pour courir plus vite vers le quai aux phosphates. Il avait suffi d'une nuit d'amour pour opérer ce miracle. Jamais Matteo n'avait connu semblables délices ; certains mots l'exaltaient encore comme si Safia eût été présente. Lui, pauvre portefaix, avait été salué par cette beauté des îles comme un prophète « Ia Robbi, Ia Allah, ô mon maître, ô mon Dieu ! » Safia entre ses bras avait soupiré ces paroles, le corps palpitant comme celui d'un pigeon qu'on étouffe. Et c'est pour réentendre ces mots, ces soupirs, qu'il lui fallait de l'argent. Il voulait, tout comme les notables qui cachaient des fortunes derrière leurs haies de tabias, dans la banlieue sfaxienne, pouvoir parer sa maîtresse, l'étourdir de cadeaux. Fini, désormais, le temps où Matteo musait d'une barque à l'autre, criblant de ses quolibets Maltais et Siciliens ; finies, les flâneries chez Gordina, les siestes sur le sable chaud du chenal. Tout cela était le passé, un cadavre que Safia avait piétiné de ses petits talons marqués de henné…
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