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  • Auteurs: Carolyn Coman
  • Auteurs: Fernand Sernada
  • Auteurs: Sandrine Lhomme
La lutte pour l'amour (Fernand Sernada) - Le Petit Livre Ferenczi N° 1282
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N° 1282 - La lutte pour l'amour (Fernand Sernada)

3,05 €
Extrait : — C'est ici ! fit Micheline Lescar. Et d'un magistral coup de frein, elle immobilisé sa superbe et puissante Hispano au bord du trottoir, rue de Presbourg, en face du Bar Georges-Carpentier. Tandis que Sonia Bernoff s'extrayait de l'auto, Micheline Lescar mit sa voiture en ordre de panne, descendit elle-même, rejoignit Sonia et les deux femmes entrèrent ensemble dans le bar. Aimablement accueillies par l'élégant ex-boxeur, qui les installa à une table libre, Micheline et Sonia, devant un Martini sec, prirent, du regard, possession de la salle. Il était un peu plus de midi et déjà très garni, le bar luxueux s'emplissait de clients. La salle, en rotonde, était barrée près de la porte, par le comptoir du bar et, disposées sans ordre, semblait-il, de petites tables d'acajou avec des sièges en cuir gris, mettaient, dans l'établissement, une note d'élégante intimité. L'élément masculin n'avait pas tardé à remarquer Micheline et Sonia et des regards admiratifs allaient aux deux femmes qui, habituées à ces hommages anonymes et muets, paraissaient indifférentes, encore qu'elles en fussent flattées…

Céleste et la Banque des Rêves (Carolyn Coman)

6,95 €
Céleste et sa petite sœur Vanille sont unies comme les doigts de la main. Or, un jour, leurs parents, excédés par les éclats de rire de la plus jeune, l’abandonnent au bord de la route et ordonnent à Céleste de l’oublier. Céleste lutte  de toutes ses forces ; jamais elle n’oubliera Vanille ! Mais le temps finit par avoir raison d’elle, et la fillette se réfugie dans le sommeil. Jour et nuit, elle rêve de sa sœur entourée d’une joyeuse bande de gamins. Elle rêve tant et tant que la BMRS, la Banque Mondiale des Rêves et des Souvenirs, la convoque dans ses locaux, un lieu incroyable où sont collectés et triés les rêves et les souvenirs du monde entier… et où sévit le dangereux Gang des Tables Rases ! Source : Editions Bayard A partir de 8 ans.

Comptines de la petite école (Béatrice Egémar, Sandrine Lhomme)

5,95 €
« Le jour de la rentrée, la maîtresse a collé dans mon grand cahier bleu une liste de fournitures : des chaussons pour les pieds mouillés, une boîte de mouchoirs en papier, un tablier pour la peinture, et une belle photo pour coller au portemanteau. Maman a ri et elle a dit : je sais ce qui m'attend demain, j'irai au grand magasin pour acheter tout ça. Et moi je lui ai demandé : tu crois que ça va rentrer dans mon cartable ? » À partir de 3 ans.

N° 1272 - Les étreintes coupables (Fernand Sernada)

3,05 €
Extrait : Sur la terrasse de la villa La Chiquenaude , qu'une tente bariolée abritait du soleil, tout en haut de la côte de Grâce, à Trouville, six personnes achevaient leur café, après déjeuner, au milieu du mois d'août. La Chiquenaude appartenait à Jacques Fertin, un gros entrepreneur de travaux publics, qui en avait hérité de son père il y avait une quinzaine d'années. Grand, d'une carrure puissante, sous des cheveux gris épais, Jacques Fertin, à cinquante-cinq ans, portait le masque jovial des gens qui ont réussi, mais pour qui la vie continue d'être une perpétuelle lutte, qu'ils mènent sans sentimentalité exagérée. Marié depuis six ans, il avait épousé une veuve, de dix-neuf ans plus jeune que lui, qu'il ne cessait d'adorer de cette dévotion tendre et pleine de prévenances que les hommes d'un certain âge réservent aux femmes à qui ils ont voué leur affection. Marise Fertin, la femme de Jacques, était, à trente-six ans, dans la plénitude de sa beauté. Grande, avec de longues jambes d'une ligne impeccable, elle avait cette silhouette élégante qui donne une marche féline et des gestes caressants…

N° 1141 - Un coeur égaré (Fernand Sernada)

3,74 €
Extrait : Comme Marc Larchamp quittait son cabinet de travail, s'apprêtant à sortir, sa femme Gilberte surgit du petit salon où elle se tenait et appela : — Marc ? Marc Larchamp eut un froncement de sourcils et, au lieu de gagner l'antichambre, il rejoignit sa femme dans le petit salon. — Alors, fil Gilberte, c'est bien décidé, tu ne veux pas m'accompagner, ce soir, au dîner des Maltière ? Marc Larchamp eut de nouveau un geste agacé et, la voix un peu sèche : — Non ! répondit-il, je n'y vois aucune utilité. Cela ne t'empêche pas d'ailleurs de t'y rendre… Ce ne sera pas la première fois que tu sortiras sans moi. — Evidemment, reprit Gilberte, tâchant de conserver son calme, mais cela devient un peu ridicule de me voir continuellement sans mon mari. — Ce qui est surtout ridicule, c'est d'être perpétuellement en dehors de chez soi, lança Marc sans aménité…
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