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  • Auteurs: Catherine Metzmeyer
  • Auteurs: Félix Léonnec
  • Auteurs: Moka
Coralie fait du cheval (Catherine Metzmeyer) - Editions Hemma
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Coralie fait du cheval (Catherine Metzmeyer)

2,74 €
Coralie fait du cheval (Catherine Metzmeyer) Coralie apprend à monter à cheval en un temps record. C'est qu'elle veut absolument participer à la randonnée. Minederien est de la partie. En selle pour une nouvelle aventure.
Coralie et son chien (Catherine Metzmeyer) - Editions Hemma
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Coralie et son chien (Catherine Metzmeyer)

2,74 €
Coralie et son chien (Catherine Metzmeyer) Au premier coup d'oeil, Coralie a su que ce petit chien serait pour elle. Et tant pis si ses parents ne sont pas d'accord ! Le chiot turbulent va difficilement passer inaperçu, et les ennuis commencent. Coralie essaye de trouver une solution.
Coralie au marché (Catherine Metzmeyer) - Editions Hemma
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Coralie au marché (Catherine Metzmeyer)

2,74 €
Branle-bas de combat chez Coralie, papa construit des clapiers. Il n'y a plus qu'à choisir les pensionnaires au marché. Bien sûr, Minederien accompagne. Mais avec ces deux-là, il se passe souvent de drôles de choses !

Au pied de l'arc-en-ciel (Moka)

2,92 €
Quand on est en vacances au milieu des moutons et des amandiers, dans une maison sans électricité, qu'il pleut qu qu'on n'a pas le droit de jouer avec sa gameboy, que peut-on faire ? On peut toujours patauger dans les flaques. On peut aller visiter une tour en ruine. On peut aussi perdre son petit frère dans les collines et passer des heures à le chercher. On peut également inventer une chasse au trésor, où les bergers sont des sorciers maléfiques, où le thym est un poison qui fait dormir mille ans si on le respire, où une armée de scorpions garde les pièces d'or et les pierres précieuses. Mais parfois, on croit seulement jouer et il se passe vraiment des choses étranges.

N° 1150 - Pauvre petite femme (Félix Léonnec)

2,92 €
Extrait : — Allons, mon bon Benoît, il faut nous séparer ; depuis hier soir, déjà, vous n'êtes plus à mon service mais à ceux du duc de Veristein ; ce tour que nous venons de faire ensemble était le dernier fait par moi sur ce domaine depuis si longtemps à mes ancêtres. J'aime mieux le voir vendu à un grand seigneur que de le voir péricliter faute d'argent pour le faire valoir. — Est-il possible, monsieur le comte, que des choses pareilles puissent arriver. J'ai été au service de Monsieur votre père et à ce moment on disait couramment que les comtes de Villerbois étaient quasiment aussi riches que des rois. — Que des rois pauvres, mon brave Benoît, certainement nous avions de quoi faire valoir tout le pays, mais les temps ont changé, la vie a des exigences qui n'existaient pas autrefois…
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