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  • Auteurs: Catherine Missonnier
  • Auteurs: Francine Robert
  • Auteurs: Josiane Strelczyk
Pourquoi tu chipotes, Loupiotte ? (Josiane Strelczyk) - Les Belles Histoires N° 139 - Bayard jeunesse

Pourquoi tu chipotes, Loupiotte ? (Josiane Strelczyk) - Les Belles Histoires N° 139

2,15 €
Loupiotte est une petite fille qui n'a jamais faim, au grand désespoir de ses parents, les géants Boustifaille. Ils doivent toujours la supplier, la menacer, la punir pour qu'elle mange ce qu'elle a dans son assiette. Un jour, pourtant, Loupiotte découvre la solution. En réveillant son imagination, Loupiotte va s'ouvrir l'appétit ! De 3 à 7 ans.
Pour les beaux yeux de Manon (Catherine Missonnier) - Vertige N° 1407 - HACHETTE Jeunesse

Pour les beaux yeux de Manon : Opération Luabo (Catherine Missonnier) - Vertige N° 1407

2,56 €
Que ne ferait-on pas pour les beaux yeux de Manon ? Victor est amoureux d'elle depuis longtemps mais s'il la croise tous les jours au lycée et dans l'escaier — ils sont voisins ! —, il n'arrive jamais à retenir son attention. Avec son côté sérieux, sa petite vie tranquille, il se sent très loin de la séduisante Manon, entourée de copains musiciens et dotée de parents baroudeurs… Mais pour l'épater, Victor se lance dans l'action humanitaire ! Objectif : construire un dispensaire à Luabo, au Mozambique… A partir de 11 ans
Jamais l'amour n'a su compter (Francine Robert) - Le Petit Livre Ferenczi N° 1899

N° 1899 - Jamais l'amour n'a su compter (Francine Robert)

2,92 €
Extrait  : — Je suis certain, en tout cas, de faire un très mauvais chef d'entreprise, un industriel exécrable ! — A ton âge, mon petit Roland, on n'est certain de rien, permets-moi de te le dire ! Et les deux interlocuteurs s'étaient dressés de chaque côté du bureau ministre qui les séparait. Un petit panneau de plexiglas posé sur la surface polie du meuble apprenait, dès leur entrée, aux visiteurs, qu'ils se trouvaient en face de « Lucien Vaudé, directeur général ». Pour la première fois de sa vie, cet homme d'affaires accoutumé à ne trouver devant lui que docilité, obéissance passive, se heurtait à une volonté qui valait peut-être la sienne : celle de son fils unique, Roland. Ce dernier venait d'avoir vingt-deux ans et on employait habituellement, pour le décrire, trois adjectifs que venait renforcer le mot « très » : « …Très grand, très brun, très sympathique… »…
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