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  • Auteurs: Camille Arnold
  • Auteurs: Cathryn Clare

N° 1676 - La clause secrète (Camille Arnold)

2,92 €
Extrait : Jacqueline repoussa lentement le tiroir du classeur dont le carton vert était déchiré, après y avoir rangé la traite des établissements Phalippou et Fils… Elle était lasse. Non pas lasse de trop travailler — son emploi de dactylo-facturière chez Fradet , « couverture, plomberie, sanitaire », n'était pas harassant ! — mais, au contraire, de faire un travail monotone et ennuyeux auquel elle ne parvenait pas à s'intéresser. Tandis qu'elle cherchait dans une boîte déglinguée un morceau de sparadrap pour arranger tant bien que mal le tiroir défaillant, elle regardait du coin de l'oeil, avec une sorte d'envie, le comptable, M. Plumet…

N° 435 - Pour l'amour de Julia (Cathryn Clare)

2,56 €
Julia a fui la misère des quartiers pauvres où elle est née et a réussi à s’assurer une existence confortable. Connor, lui, a rompu avec son milieu doré pour échapper à tout un monde de contraintes étouffantes et mener une vie libre. Elle est raisonnable, il est rêveur ; elle est prudente, il est audacieux. Le hasard va pourtant réunir ces deux êtres farouchement indépendants et radicalement différents. Le hasard… mais, surtout, la passion. Car dès le premier regard, Connor sait qu’il ne pourra plus se passer de Julia et, dès le premier frôlement, Julia sait aussi qu’elle ne cessera plus de penser à Connor. Mais, dans ce tourbillon d’émotions qui les emporte, une question revient sans cesse : comment tout à la fois s’aimer et concilier leur modes de vie opposés ?

N° 412 - Un pays de neige et de feu (Cathryn Clare)

2,15 €
Timmins, au nord de l'Ontario, Canada… Lui : Clint Daniels, homme d'affaires. Avec sa mâle assurance et son élégant complet bleu marine, il paraît un peu déplacé dans une petite ville. Il semble d'ailleurs dissimuler soigneusement les raisons profondes de sa présence à Timmins… Elle : Laurie Houston, nutritionniste. Originaire de Nova Scotia, elle ne rêve que de mer et de soleil, et supporte bravement les longs hivers rigoureux de Timmins. Sa plus grande qualité : la perspicacité. Aussi, dès qu'elle rencontre Clint, pressent-elle que les saisons rudes du nord de l'Ontario n'auront peut-être pas été pour elle un vain sacrifice…

N° 1704 - Au bord de l'abîme (Camille Arnold)

3,74 €
Extrait : Gustave Herbelot reposa le vase de Sèvres dont, machinalement, il avait regardé la marque. On aurait dit qu'il faisait, sans y songer, l'inventaire de ce qu'avait laissé, en mourant, Suzanne Teyssière. De tous les bibelots qui ornaient ce salon, le plus ravissant était sans conteste Odile devant qui Gustave vint se planter, les mains aux poches : — Alors, petite ? Nous sommes d'accord ? La jeune fille leva vers lui un regard craintif : — Il le faut bien, tonton. Elle n'était pas sa nièce, mais celle de sa femme, Fernande, qui était morte deux ans plus tôt. Décidément, on ne vivait pas vieux, chez les Guitton : les deux soeurs, Fernande et Suzanne, avaient été orphelines de bonne heure. Puis Fernande était morte à trente-huit ans et voici que Suzanne venait à son tour d'être emportée en quelques jours par une angine de poitrine. Il restait à Gustave, en tout de sa belle famille, cette nièce de dix-sept ans dont il avait été désigné le tuteur…

N° 1567 - L'inutile sacrifice (Camille Arnold)

3,05 €
Extrait : Chaque fois que Madeleine entend l'ascenseur se mettre en marche les aiguilles de son tricot s'immobilisent et elle suspend presque son souffle pour tendre l'oreille. Est-ce lui, cette fois ? Non, l'arrêt se fait à un autre étage... et elle en est, à la fois, déçue et contente : déçue, parce qu'elle languit que Claude soit rentrée... et contente, parce qu'elle pourra faire encore quelques « rangs » de plus à son pull-over. Comment sera-t-il ce soir ? Ne sera-t-il pas trop fatigué par le métro et ses bousculades aux heures de « pointe », ses innombrables escaliers de correspondance ? Ne sera-t-il pas trop énervé par les leçons données à des aspirantes-pianistes qui n'ont pas la moindre disposition pour la musique mais qui, avant de savoir faire une gamme, sont impatientes de pouvoir jouer Tristesse de Chopin à leur première réception ? Ne sera-t-il pas trop démoralisé par une entrevue avec quelque directeur de théâtre ou quelque éditeur qui, après lui avoir prodigué de grandes louanges pour ses oeuvres, se sera répandu en soupirs pour se plaindre de la crise, des frais chaque jour plus lourds qui l'obligent à « ne miser que sur des noms connus du public »…
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