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  • Auteurs: Cathy Williams
  • Auteurs: France Noël
Coup de foudre au bureau : Un patron trop séduisant - Cathy Williams - Harlequin Azur N° 3340
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N° 3340 - Coup de foudre au bureau : Un patron trop séduisant (Cathy Williams)

2,56 €
Le coup de foudre peut frapper partout... même au bureau ! En remettant sa démission à son patron, Luc Laughton, Agatha se sent envahie par le découragement : renoncer à son travail va la placer dans une situation financière dramatique. Mais elle n’a pas le choix. Pas après la nuit de passion que Luc et elle ont partagée la veille, et qu’elle sait hélas sans lendemain. Dans ces conditions, comment pourrait-elle continuer à travailler au côté de ce séducteur invétéré, incapable d’éprouver le moindre sentiment pour elle ? Sauf que Luc exige qu’elle reste à son poste en attendant qu’il lui trouve une remplaçante… Combien de temps pourra-t-elle supporter de le côtoyer tout en lui dissimulant les sentiments qu’elle éprouve pour lui, en dépit de tout ?

N° 3291 - Enfant secret : L'enfant d'un séducteur (Cathy Williams)

2,56 €
Elles vont devoir révéler leur précieux secret à l'homme qu'elles n'ont jamais cessé d'aimer… Depuis trois semaines qu'elle a été recrutée dans une prestigieuse banque londonienne, Sarah n'a jamais rencontré âme qui vive dans les bureaux. Et pour cause : elle ne commence à y travailler qu'une fois les autres employés partis. Pourtant, un soir, une voix d'homme la fait soudain sursauter. Et quand elle se retourne pour voir à qui appartient cette voix grave et pleine d'assurance, la surprise s'efface pour faire place à la stupeur, et à la panique. Car le patron de la banque n'est autre que Raoul Sinclair, l'homme qu'elle aimé cinq ans plus tôt, avant qu'il ne la quitte brutalement. L'homme dont elle est tombée enceinte, mais qui ne sait rien de l'existence de son enfant…  

N° 3340 - Coup de foudre au bureau : Un patron trop séduisant (Cathy Williams)

2,95 €
Le coup de foudre peut frapper partout... même au bureau ! En remettant sa démission à son patron, Luc Laughton, Agatha se sent envahie par le découragement : renoncer à son travail va la placer dans une situation financière dramatique. Mais elle n’a pas le choix. Pas après la nuit de passion que Luc et elle ont partagée la veille, et qu’elle sait hélas sans lendemain. Dans ces conditions, comment pourrait-elle continuer à travailler au côté de ce séducteur invétéré, incapable d’éprouver le moindre sentiment pour elle ? Sauf que Luc exige qu’elle reste à son poste en attendant qu’il lui trouve une remplaçante… Combien de temps pourra-t-elle supporter de le côtoyer tout en lui dissimulant les sentiments qu’elle éprouve pour lui, en dépit de tout ?

N° 1493 - Pourquoi refuser le bonheur ? (France Noël)

3,56 €
Extrait : Les conversations qui s'étaient tues pendant que Gilles Lorrain, debout sur l'étroit guéridon du bar, exécutait au son du pick-up un swing sauvage et désordonné qui tenait beaucoup plus de la crise d'épilepsie que de la danse, reprirent de plus belle avec des cris, des huées et des applaudissements lorsque le jeune homme sauta à terre et, tout essoufflé, se jeta dans un fauteuil. …

N° 1649 - Un soir... sur le port (France Noël)

3,74 €
Extrait : La brume était si dense que les lumières des bateaux semblaient danser à travers des épaisseurs de coton. Un petit crachin glacé pénétrait partout plus sûrement qu'une grosse pluie sans ruse. François releva le col de son imperméable, puis il s'arrêta pour bourrer et allumer sa pipe. Un instant il dut lutter contre le vent qui faisait vaciller la flamme de l'allumette, il jura entre ses dents puis se remit en route, les deux mains dans les poches, d'une allure nonchalante de promeneur. La nuit était complètement tombée, une de ces nuits hostiles et brumeuses, au cours desquelles la solitude semble plus amère. François s'arrêta contre la porte éclairée d'un café pour regarder sa montre. Il n'était pas encore neuf heures. Il avait toute la soirée devant lui. Il se demanda ce qu'il pourrait faire pour tuer le temps. Les affiches lumineuses d'un cinéma l'attirèrent. Il s'approcha mais constata qu'on y projetait le même film qu'il avait vu annoncé l'avant-veille dans une salle de son quartier à Paris…

N° 1718 - Une vie sans histoire (France Noël)

4,50 €
Extrait : Les cloches de l'église annoncèrent la sortie de la grand-messe ; les enfants du catéchisme s'agitèrent sur leurs bancs et tournèrent la tête vers la porte du fond qu'on venait d'ouvrir et par où l'on voyait un coin de ciel gris. Le claquoir de « M. l'Abbé » les rappela à l'ordre et les têtes se retournèrent vers le maître autel. Un coup de claquoir fit lever les enfants comme si l'on faisait jouer un ressort. Un rapide signe de croix qui semblait plus destiné à chasser les mouches qu'à affirmer leur foi chrétienne et les petits pieds chaussés de gros souliers d'hiver martelèrent les dalles de l'église. Sur la place, les gens s'assemblaient et les conversations de tous les dimanches reprenaient. On s'interrogeait sur l'emploi du temps de l'après-midi ; on se demandait des nouvelles ; on commentait le sermon virulent de M. le Curé qui avait stigmatisé les « tièdes » qui viennent à l'église plus pour faire admirer leur toilette dominicale que pour honorer et prier le Seigneur. On se répétait des phrases du sermon. Personne n'avait pris paroles du prêtre pour soi, comme il arrive toujours en pareil cas…

N° 1628 - Le plaisir et le bonheur (France Noël)

3,74 €
Extrait : L'auto roulait à vive allure sur le petit chemin bordé d'oliviers. Sur la droite, on apercevait la ligne étincelante de la mer. Les cigales chantaient et leur cri strident, monotone, semblait la chanson même de cette terre provençale si belle et si riche dans sa pureté géométrique. Les mains sur le volant, le jeune conducteur jeta sur la droite un regard d'ivresse ; la vue de la mer à l'horizon, bleue comme sur les cartes postales à bon marché, dont on a toujours tendance à croire qu'elles exagèrent les couleurs, lui versait une allégresse qui lui donnait envie de chanter et de crier de joie physique, comme un enfant. Il reporta son regard sur le petit chemin de terre rouge, si étroit qu'il devait rouler doucement pour ne pas accrocher au passage les troncs argentés des oliviers, et se mit à siffler une chanson d'étudiant. Il se sentait joyeux, plein d'entrain pour commencer la vie, la vraie vie qui l'attendait maintenant que ses études étaient terminées. Il s'étonna de voir soudain sur le chemin, ordinairement désert, une silhouette de femme…

N° 1530 - Le démon du printemps (France Noël)

3,74 €
Extrait : Assise sur le bord du sentier, les pieds ballants au-dessus du vide, la jeune femme contemplait la magnificence du couchant. Il y avait dans ce spectacle quelque chose qui lui serrait la gorge et lui donnait une vague et en somme assez agréable mélancolie. Les beaux spectacles que la nature prodigue à ceux qui savent les voir l'avaient, de tout temps, totalement exaltée. — Quelle enfant je fais ! murmura-t-elle pour elle-même. J'ailes larmes aux yeux pour un coucher de soleil réussi, pour un clair de lune romantique ou même simplement pour l'odeur puissante des seringas dans la nuit, exactement comme lorsque j'avais quinze ans. Il serait tout de même temps que cela se passât ! Malgré l'ironie qu'elle s'efforçait d'exercer contre elle-même, elle savait très bien, qu'au fond, elle ne souhaitait pas « que cela passât ». Il lui arrivait parfois d'envier les êtres qui traversent la vie sans rien ressentir que de superficiel car, disait-elle, « ceux-là souffrent moins… »…

N° 1514 - Son prince charmant (France Noël)

3,05 €
Extrait : La jeune fille déposa sur le sol sa charge de bois et frotta l'une contre l'autre ses mains violacées par le froid. Une mèche de cheveux bouclés s'échappait du capuchon de bure qui lui couvrait la tête et pendait entre ses sourcils ; elle la releva d'un geste machinal et essuya, du dos de sa main, son visage mouillé de pluie. Derrière elle, dans le chemin défoncé, ses sabots avaient laissé des empreintes profondes, emplies d'une eau grise et boueuse. La pluie ne cessait pas et le vent qui soufflait en rafales faisait gémir les sapins d'une longue plainte lugubre et presque humaine. La jeune fille frissonné. La distance qui lui restait encore à parcourir lui paraissait accablante. Elle avait froid, le bois était lourd, le soir tombait et le silence environnant, seulement troublé par le bruit de l'eau et du vent, avait quelque chose d'angoissant auquel elle ne pourrait jamais s'habituer. La pèlerine de drap grossier qui la couvrait presque jusqu'aux chevilles était imbibée d'eau, et elle se sentait glacée jusqu'aux os…
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