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  • Auteurs: Alec d'Ayrolles
  • Auteurs: Charles Dickens

Le magasin d'antiquités (Charles Dickens)

5,95 €
Un soir, un vieux Londonien s'entend prier, par une jolie petite fille, de lui indiquer le chemin d'une rue située loin, très loin… Il y conduit l'enfant et fait ainsi la connaissance du grand-père de Nelly, propriétaire d'un magasin d'antiquités. Ce vieillard, qui a aussi un petit-fils, un garnement de petit-fils, entretient d'étranges relations avec un nain odieux, qui, perfidement, le dépossède de son magasin… Alors, une nuit, Nelly et son grand-père, la main dans la main, doucement, sans bruit, s'enfuient de la maison et quittent Londres, tandis que la grande ville dort encore, sans savoir où ils vont… Partis presque sans ressources, que vont devenir le vieillard et l'enfant ?…

Les aventures de M. Pickwick (Charles Dickens) - Texte abrégé

3,56 €
Quatre messieurs très solennels qui font des glissades sur une couche de glace légèrement trop mince… Un illustre savant enfermé dans le placard d'un pensionnat de jeunes filles… Cent autres incidents aussi cocasses, racontés par le plus grand des romanciers anglais, émaillent « Les aventures de M. Pickwick »…

N° 1545 - Le gardien du bonheur (Alec D'Ayrolles)

3,74 €
Extrait : Tout ce que l'île comptait de valide - hommes, femmes, enfants ou vieillards - était massé autour de la crique, pour suivre la « compétition » ; c'est dire qu'il n'y avait, pratiquement, personne dans les maisons, car les habitants de Motu-Ahi ne sont pour ainsi dire jamais malades (il n'y a même pas de médecin dans l'île : on en a fait venir un, dans les cas extrêmes, de Papeete) ; ils atteignent facilement un âge biblique, puis, un beau jour, jugeant qu'il serait indiscret d'encombrer plus longtemps la famille de leur inutile personne, ils s'endorment à jamais. Oui, les Motu-Ahiens (c'est ainsi, je pense, qu'il convient de nommer les « naturels » de l'île) vivent vieux, et ils vivent heureux, en profitant de l'éternel printemps du climat polynésien et en se contentant, avec sagesse, des poissons qui viennent tout seuls dans les filets, du gibier qui veut bien se suicider dans les pièges, et les fruits — oranges, bananes, noix de coco et mayorés … — qui poussent en telle abondance qu'il suffit de s'amuser à grimper aux arbres pour en avoir non seulement assez pour son propre ravitaillement mais, même pour en exporter un peu…
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