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  • Auteurs: Charles Dickens
  • Auteurs: Emilie Hubert
  • Auteurs: Philippine Terris

Le magasin d'antiquités (Charles Dickens)

5,95 €
Un soir, un vieux Londonien s'entend prier, par une jolie petite fille, de lui indiquer le chemin d'une rue située loin, très loin… Il y conduit l'enfant et fait ainsi la connaissance du grand-père de Nelly, propriétaire d'un magasin d'antiquités. Ce vieillard, qui a aussi un petit-fils, un garnement de petit-fils, entretient d'étranges relations avec un nain odieux, qui, perfidement, le dépossède de son magasin… Alors, une nuit, Nelly et son grand-père, la main dans la main, doucement, sans bruit, s'enfuient de la maison et quittent Londres, tandis que la grande ville dort encore, sans savoir où ils vont… Partis presque sans ressources, que vont devenir le vieillard et l'enfant ?…

Les aventures de M. Pickwick (Charles Dickens) - Texte abrégé

3,56 €
Quatre messieurs très solennels qui font des glissades sur une couche de glace légèrement trop mince… Un illustre savant enfermé dans le placard d'un pensionnat de jeunes filles… Cent autres incidents aussi cocasses, racontés par le plus grand des romanciers anglais, émaillent « Les aventures de M. Pickwick »…

La grande aventure (Émilie Hubert)

6,75 €
Maud et Émilie sont deux amies inséparables qui aiment faire ensemble les quatre cents coups. Alors, quand l'une propose de jouer aux enfants perdus dans les bois, l'autre accepte sans hésiter. Une corde pour grimper, un drap pour monter une tente, quelques vivres pour subsister. Les voilà prêtes pour l'aventure. La grande. Mais, dans les bois, il fait vite sombre, surtout quand il pleut. Et puis, on n'est pas à l'abri de rencontres inquiétantes…

N° 3417 - Mensonge et passion (Philippine Terris)

3,75 €
Mensonge et passion Un roman inédit de Philippine Terris Extrait : J'eus un soupir exaspéré et, pendant une seconde, je crus que j'allais me jeter sur la toile, pour la lacérer. Je me contentai d'essuyer mon pinceau soigneusement. Par les vitres de l'atelier, une blafarde lumière d'hiver tombait sur le tableau que j'étais en train de peindre. Le costume de l'homme en rouge paraissait plus éclatant et plus pâle, son visage anguleux : — Mais les yeux… Je n'arrive pas à peindre les yeux… Et j'arrachai ma blouse, à grands gestes impatients. J'avais mal à la tête, une subite envie de pleurer. Il est terrible d'essayer de traduire en formes, en couleurs, ce qui est le reflet mouvant de votre imagination.. — Quelquefois, c'est même impossible, murmurai-je. Je détournai le regard de l'homme en rouge. Je finirais par le détester, ce visage sans regard, dont la bouche souriait, dédaigneuse…
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