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  • Auteurs: Charles Exbrayat
  • Auteurs: Francine Robert

N° 3090 - Le château des amours mortes d'après le roman de Charles Exbrayat

2,90 €
Extrait : Le collège de Saint-Fortunat, situé sur la rive droite du Rhône, jouit d'une réputation assurée parmi la bourgeoisie ardéchoise. Le collège est composé de bâtiments austères qu'égaie un très beau parc. Parmi les professeurs, le plus populaire est sans aucun doute Horace de la Rabatelière, qui enseigne le français dans les classes terminales. Un joli garçon de vingt-six ans, élégant…

N° 3082 - Les Dames du Creusot d'après le roman de Charles Exbrayat

2,90 €
Extrait : Chaque matin, vers dix heures, Gaston Moloy, directeur de « L'Eveil », l'un des plus grands quotidiens de la région lyonnaise, recevait ses collaborateurs. Ce jour-là, la réunion s'achevait lorsque le chef de la rubrique judiciaire demanda conseil en ce qui concernait l'affaire du Creusot. — Quelle affaire ? — Il y a quelques jours, un gosse a été écrasé dans la rue…

N° 3076 - Pour Belinda d'après le roman de Charles Exbrayat

2,90 €
Pour Belinda d'après le roman policier de Charles Exbrayat Extrait : Ils se sont tous tournés vers moi pour guetter ma réaction. Je me suis contenté de chercher des yeux Cyrus, puis j'ai pris mon chapeau, et je suis sorti sans un mot. Dehors, Cyrus m'attendait et je lui ai longuement serré la main : — Vous allez… là-bas ?… demanda-t-il. On ne vous aime guère dans ce coin-là : prenez garde, Bert ! — Je m'en moque… — J'attends ici votre retour… dit Cyrus…

N° 1899 - Jamais l'amour n'a su compter (Francine Robert)

2,92 €
Extrait  : — Je suis certain, en tout cas, de faire un très mauvais chef d'entreprise, un industriel exécrable ! — A ton âge, mon petit Roland, on n'est certain de rien, permets-moi de te le dire ! Et les deux interlocuteurs s'étaient dressés de chaque côté du bureau ministre qui les séparait. Un petit panneau de plexiglas posé sur la surface polie du meuble apprenait, dès leur entrée, aux visiteurs, qu'ils se trouvaient en face de « Lucien Vaudé, directeur général ». Pour la première fois de sa vie, cet homme d'affaires accoutumé à ne trouver devant lui que docilité, obéissance passive, se heurtait à une volonté qui valait peut-être la sienne : celle de son fils unique, Roland. Ce dernier venait d'avoir vingt-deux ans et on employait habituellement, pour le décrire, trois adjectifs que venait renforcer le mot « très » : « …Très grand, très brun, très sympathique… »…
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