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  • Auteurs: Charles Exbrayat
  • Auteurs: Henri Mansvic

N° 3090 - Le château des amours mortes d'après le roman de Charles Exbrayat

2,90 €
Extrait : Le collège de Saint-Fortunat, situé sur la rive droite du Rhône, jouit d'une réputation assurée parmi la bourgeoisie ardéchoise. Le collège est composé de bâtiments austères qu'égaie un très beau parc. Parmi les professeurs, le plus populaire est sans aucun doute Horace de la Rabatelière, qui enseigne le français dans les classes terminales. Un joli garçon de vingt-six ans, élégant…

N° 3082 - Les Dames du Creusot d'après le roman de Charles Exbrayat

2,90 €
Extrait : Chaque matin, vers dix heures, Gaston Moloy, directeur de « L'Eveil », l'un des plus grands quotidiens de la région lyonnaise, recevait ses collaborateurs. Ce jour-là, la réunion s'achevait lorsque le chef de la rubrique judiciaire demanda conseil en ce qui concernait l'affaire du Creusot. — Quelle affaire ? — Il y a quelques jours, un gosse a été écrasé dans la rue…

N° 3076 - Pour Belinda d'après le roman de Charles Exbrayat

2,90 €
Pour Belinda d'après le roman policier de Charles Exbrayat Extrait : Ils se sont tous tournés vers moi pour guetter ma réaction. Je me suis contenté de chercher des yeux Cyrus, puis j'ai pris mon chapeau, et je suis sorti sans un mot. Dehors, Cyrus m'attendait et je lui ai longuement serré la main : — Vous allez… là-bas ?… demanda-t-il. On ne vous aime guère dans ce coin-là : prenez garde, Bert ! — Je m'en moque… — J'attends ici votre retour… dit Cyrus…

N° 544 - Celle qui aime... (Henri Mansvic)

3,74 €
Extrait :  En pleine Sarthe, sur la pente d'une colline boisée au pied de laquelle une rivière ondule, se dresse le vieux château de Menonville. On y accède par un chemin moussu, tout bordé de haies vives, qui, par ce matin de mai ensoleillé, verdoient et parfument. A l'heure où nous y pénétrons avec notre lecteur, un homme, presque un vieillard, est assis dans un petit salon solitaire. Les coudes sur une table, l'oeil fixe, la tête dans ses deux mains, il songe. Et ce à quoi il songe doit être profondément triste, car de longs soupirs s'échappent par instants de sa poitrine oppressée. Les mauvaises nouvelles, qu'il pressentait il y a quelques jours, s'étaient en effet confirmées hier. Il n'y avait plus de doute possible, et le désastre était absolu de la banque qui détenait sa fortune…
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