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  • Auteurs: Charles Exbrayat
  • Auteurs: Marcelle de Morthone

N° 3090 - Le château des amours mortes d'après le roman de Charles Exbrayat

2,90 €
Extrait : Le collège de Saint-Fortunat, situé sur la rive droite du Rhône, jouit d'une réputation assurée parmi la bourgeoisie ardéchoise. Le collège est composé de bâtiments austères qu'égaie un très beau parc. Parmi les professeurs, le plus populaire est sans aucun doute Horace de la Rabatelière, qui enseigne le français dans les classes terminales. Un joli garçon de vingt-six ans, élégant…

N° 3082 - Les Dames du Creusot d'après le roman de Charles Exbrayat

2,90 €
Extrait : Chaque matin, vers dix heures, Gaston Moloy, directeur de « L'Eveil », l'un des plus grands quotidiens de la région lyonnaise, recevait ses collaborateurs. Ce jour-là, la réunion s'achevait lorsque le chef de la rubrique judiciaire demanda conseil en ce qui concernait l'affaire du Creusot. — Quelle affaire ? — Il y a quelques jours, un gosse a été écrasé dans la rue…

N° 3076 - Pour Belinda d'après le roman de Charles Exbrayat

2,90 €
Pour Belinda d'après le roman policier de Charles Exbrayat Extrait : Ils se sont tous tournés vers moi pour guetter ma réaction. Je me suis contenté de chercher des yeux Cyrus, puis j'ai pris mon chapeau, et je suis sorti sans un mot. Dehors, Cyrus m'attendait et je lui ai longuement serré la main : — Vous allez… là-bas ?… demanda-t-il. On ne vous aime guère dans ce coin-là : prenez garde, Bert ! — Je m'en moque… — J'attends ici votre retour… dit Cyrus…

N° 1162 - Le triomphe de la jeunesse (Marcelle de Morthone)

3,05 €
Extrait : Dans le silence du vaste bureau, la sonnerie grêle du Morse retentit tout à coup. Une adolescente, tapie dans l'angle de la fenêtre, sombre silhouette disparaissant presque derrière un journal déplié, se redressa. — Ne vous dérangez pas, mademoiselle Cardonne… Je suis debout… dit une voix. L'interpellée se laissa retomber sur la chaise basse et replia le journal d'un geste nerveux, en levant sur son interlocutrice de grands yeux que la pupille d'un noir de jais remplissait presque. Le visage, d'un ovale parfait avait naturellement cette couleur mate obtenue par les élégantes grâce au concours savant des parfumeurs à la mode et la bouche un peu grande, mais au pur dessin, était du rouge foncé des cerises bien mûres. L'expression enfantine de cette bouche contrastait singulièrement avec le regard, un peu regard de femme qui semblait voir loin dans les âmes…
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