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  • Auteurs: Charles Perrault
  • Auteurs: Félix Léonnec
  • Auteurs: Noah Gordon
L'Hôpital du soupçon (Noah Gordon) - Le livre de poche N° 15296
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L'Hôpital du soupçon (Noah Gordon) - Le livre de poche N° 15296

2,74 €
Boston, 1969. Dans un grand hôpital de la ville, les destins de trois jeunes et brillants médecins se croisent... Chirurgien doué, issu d'une riche famille cubaine, Rafael Meomartino a épousé Elizabeth, la nièce du chef de service. Originaire d'un milieu populaire, Adam Silverstone est un travailleur acharné, animé d'un farouche désir de réussite. Le plus jeune, Spurgeon Robinson, seul interne noir de l'hôpital, doit quant à lui subir les préjugés racistes qui ont cours dans ce milieu. Ces hommes, qui se côtoient chaque jour auprès des patients, vont nouer des relations complexes, allant de l'amitié à la rivalité, tandis que plane au-dessus d'eux l'ombre de la « commission de mortalité », terrifiante instance chargée d'examiner les cas de décès survenus au sein de l'hôpital. Entre leurs ambitions, les exigences de leur métier et les aléas de leur vie personnelle, cette année va, pour tous les trois, se révéler décisive... A travers les drames, les angoisses, mais aussi les espoirs et les miracles qui tissent chaque jour la vie de l'hôpital, Noah Gordon, alliant le souffle romanesque à un minutieux souci du détail vrai, nous dévoile les coulisses de ce prodigieux théâtre humain.
Le chat botté (Charles Perrault) - Les Mini Castor - Flammarion
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Le chat botté (Charles Perrault)

2,15 €
Le chat botté Un meunier avait trois fils. Lorsqu'il mourut, il ne laissa que son moulin, son âne et son chat. Le partage fut donc rapide : l'aîné eut le moulin, le deuxième prit l'âne et, pour le plus jeune, il ne resta que le chat…

N° 1150 - Pauvre petite femme (Félix Léonnec)

2,92 €
Extrait : — Allons, mon bon Benoît, il faut nous séparer ; depuis hier soir, déjà, vous n'êtes plus à mon service mais à ceux du duc de Veristein ; ce tour que nous venons de faire ensemble était le dernier fait par moi sur ce domaine depuis si longtemps à mes ancêtres. J'aime mieux le voir vendu à un grand seigneur que de le voir péricliter faute d'argent pour le faire valoir. — Est-il possible, monsieur le comte, que des choses pareilles puissent arriver. J'ai été au service de Monsieur votre père et à ce moment on disait couramment que les comtes de Villerbois étaient quasiment aussi riches que des rois. — Que des rois pauvres, mon brave Benoît, certainement nous avions de quoi faire valoir tout le pays, mais les temps ont changé, la vie a des exigences qui n'existaient pas autrefois…
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