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  • Auteurs: Carly Bishop
  • Auteurs: Charles Perrault
  • Auteurs: Marianne Pierson-Pierard
Le chat botté (Charles Perrault) - Les Mini Castor - Flammarion
  • Nouveau

Le chat botté (Charles Perrault)

2,15 €
Le chat botté Un meunier avait trois fils. Lorsqu'il mourut, il ne laissa que son moulin, son âne et son chat. Le partage fut donc rapide : l'aîné eut le moulin, le deuxième prit l'âne et, pour le plus jeune, il ne resta que le chat…
L'ange vengeur - Carly Bishop - Sixième Sens Harlequin N° 77

N° 77 - L'ange vengeur (Carly Bishop)

2,54 €
Vengeance posthume… Epuisée par sa longue marche dans la tempête, Robyn s'était étendue dans la neige qui, lentement, commençait à la recouvrir. Elle se sentait si bien, dans ce lit aux draps immaculés ! Le sommeil, peu à peu, la gagnait. Bientôt, la neige l'ensevelirait, comme les rochers et les pierres avaient enseveli Keller, dans la mine… Enfin, la mort lui rendrait son mari que la vie lui avait si cruellement arraché. Dans un sursaut de conscience, Robyn songea que, si elle disparaissait, personne ne démasquerait jamais l'assassin de Keller. Car son décès, elle en était certaine, n'avait rien d'accidentel… Hélas, tout portait à croire que ce crime resterait impuni. Car nul ne viendrait lui porter secours, en pleine montagne, alors que le blizzard rugissait de plus belle. A moins d'un miracle, elle allait périr ici ! Entre espoir et résignation, elle s'abandonnait déjà à son sort lorsqu'il lui sembla entendre, tout près, le trot d'un cheval. Elle devait rêver… Pourtant, cet homme, qui se penchait doucement vers elle, elle le reconnaissait. Ce visage, ce sourire…  C'était Keller, son mari !
Le premier été sans Fabienne (Marianne Pierson-Pierard) - BS Lecture N° 3037

N° 3037 - Le premier été sans Fabienne d'après le roman de Marianne Pierson-Pierard

3,75 €
Extrait : La journée s'achevait, grise, nuageuse, incertaine. « Une de plus pour faire une vie, une de moins pour faire une mort » se disait Julien, morose comme à l'habitude. Il rentrait du jardin où il avait tourné en rond, contemplant ses pelouses, ses fleurs, nettoyant par-ci par-là une corolle fanée, ce que Fabienne appelait « prendre la poussière des parterres » Morose mais non plus accablé…
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