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  • Auteurs: Charles Perrault
  • Auteurs: Paul Salmon
  • Auteurs: Yvonne Girault
Le chat botté (Charles Perrault) - Les Mini Castor - Flammarion
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Le chat botté (Charles Perrault)

2,15 €
Le chat botté Un meunier avait trois fils. Lorsqu'il mourut, il ne laissa que son moulin, son âne et son chat. Le partage fut donc rapide : l'aîné eut le moulin, le deuxième prit l'âne et, pour le plus jeune, il ne resta que le chat…

N° 680 - Pantagruel (Yvonne Girault)

5,90 €
Extrait : Enfance de Pantagruel Beaucoup d'entre vous, mes chers petits amis, se souviennent certainement des aventures du géant Gargantua, telles que Rabelais nous les a racontées autrefois. Se souviennent-ils aussi que nous leur avions promis la suite de ces aventures, l'histoire du géant Pantagruel, fils de Gargantua ? C'est cette histoire que nous allons leur conter aujourd'hui. Or donc, Gargantua avait épousé la princesse Badbec, fille du roi des Argonautes. Et il advint en ce temps-là une sécheresse si extraordinaire, qu'il s'écoula trente-six mois, trois semaines, quatre jours, treize heures (et quelque peu davantage) sans pluie, avec une chaleur si véhémente que toutes les rivières étaient taries et que tous les animaux des champs mouraient de soif. Ce pourquoi, quand son fils naquit, Gargantua lui donna pour nom Pantagruel, ce qui signifie « le très altéré ». En venant au monde, Pantagruel coûta la vie à sa mère, la reine Badbec. Aussi Gargantua ne savait s'il devait pleurer la mort de sa femme, ou se réjouir du fils qui lui était né, si beau et si grand ; en sorte, dit la légende, qu'il prit le parti de rire d'un oeil et de pleurer de l'autre…

N° 1152 - Quand fleurit l'amour (Paul Salmon)

3,05 €
Extrait : — Voilà qu'il pleut !… Ah ! il ne manquait plus que cela. Moi qui n'ai pas de parapluie !… Et Denise Laurel levait vers le ciel gris de novembre un regard désolé. En effet, l'averse se déclenchait, tombant en gouttes fines et serrées. Résignée, la jeune fille courba le dos, se pelotonnant en son mince manteau beige dont elle ramena frileusement les revers sur sa poitrine. Puis hâtant le pas, rasant les boutiques, elle poursuivit sa marche. C'était une jolie brune de dix-huit ans, aux grands yeux bleu sombre. Le visage, d'un ovale parfait, avait des traits fins et réguliers, une de ces têtes dont les maîtres de la Renaissance gratifiaient leurs madones. Le teint pâle le paraissait encore davantage par contraste avec les sourcils, les cils presque noirs. Le nez, petit et droit, d'un dessin correct, dominait une bouche aux lèvres rouges s'entr'ouvrant sur des dents petites, blanches, parfaitement rangées. De taille moyenne, Denise Laurel semblait grande tant elle était svelte ; admirablement proportionnée, elle avait une grâce qu'elle ne soupçonnait point elle-même et qui, cependant, était très réelle…
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