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Il y a 4 produits.

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  • Auteurs: Charlotte Armstrong
  • Auteurs: Conrad Mason
  • Auteurs: Léopold Remon

The Deep Dark Woods (Conrad Mason, Ben Mantle)

2,56 €
« Beware, beware the deep dark woods. But Jack doesn't listen… How will he ever get home ? » The Deep Dark Woods  is part of the  Usborne Very First Reading  series which has been specially developed to help children learn to read. Each book in the series introduces new letters or reading patterns, and reinforces material from previous books. Designed for an adult and child to read together, the series combines lively rhyming stories with inspiring illustrations in order to build the skills and confidence that will encourage a lifelong enjoyment of reading.

N° 3130 - Le temps d'un amour (Clarence May) - Au bord du danger (Charlotte Armstrong)

4,50 €
Encarts BS Lecture 3078 à détacher Le temps d'un amour d'après le roman de Clarence May Un soir, sur une piste de Malaisie, Gilwim Morgan est victime d'un attentat. Ruthie, jeune métisse, le recueille et le soigne. Elle se prend pour lui d'une vive passion. Cependant, Gildwin doit épouser la belle Flora Sanderson dès son retour aux Etats-Unis. En arrivant à San Francisco, Morgan tombe dans un piège et, bien qu'innocent, se voit condamné à une longue détention. Libéré grâce à des circonstances extraordinaires, il changera d'identité et se trouvera à nouveau en présence de Ruth. Celle-ci arrivera-t-elle à lui faire oublier la séduisante Flora, dont il est toujours épris ? Tant d'amour et de dévouement trouveront-ils leur récompense ? Un roman d'amour et d'aventure plein de suspense traité de manière passionnante par Clarence May. Au bord du danger d'après le roman policier de Charlotte Armstrong.

N° 1696 - Sa vraie maman ! (Léopold Remon)

2,92 €
Extrait : C'était une pauvre demeure que celle où la vieille Marie Méry se mourait. Une grande pièce au sol dallé, une alcôve et un petit réduit où l'on gardait quelques provisions, composaient le modeste intérieur. Des bouquets d'oignons suspendus décoraient les poutres. La vaste cheminée, quelques misérables meubles ornaient la pièce principale qui s'ouvrait de plain-pied sur le jardinet. Parfois, deux ou trois poules effrontées s'aventuraient jusqu'à la paillasse où dormait Pierrette. C'était toute la basse-cour de Marie Méry qui nourrissait ces volatiles de quelques miettes, et leur laissait le soin de dénicher dans les champs d'alentour le plus clair de leur subsistance. Pauvre, Marie Méry l'était, mais à la façon indifférente des vieilles paysannes qui savent côtoyer la misère sans tomber dans le sordide. Elle ne possédait aucun bien, n'avait ni bétail, ni terre. Et la maison ne lui appartenait qu'en vertu de son abandon dont elle avait su profiter depuis si longtemps…

N° 1714 - Personne au monde... (Léopold Rémon)

3,74 €
Extrait : Quand Charles Bocham pénétra dans son bureau, le scribe indigène était déjà au travail. Le jeune homme bourra sa pipe, déplaça quelques dossiers, prit un roman policier. C'était vraiment un emploi de tout repos. L'employé maori se chargeait des paperasses et s'en tirait fort bien tout seul. Pourtant, le règlement prévoyait que le titulaire du poste devait être licencié en droit. Voilà pourquoi, depuis trois ans, Charles Bocham avait quitté la France. Trois ans ! Il avait débarqué à Tahiti comme Alice au pays des merveilles. C'était presque trop beau, trop colorié. L'air était trop doux, les parfums trop sucrés, la mer et le ciel trop bleus. Mais avec le temps, les couleurs s'étaient ternies, les parfums fanés. Aujourd'hui, Charles Bocham crevait d'ennui. Même la prochaine venue de sa fiancée ne parvenait pas à le tirer de sa lassitude. Le bateau, actuellement, devait franchir le canal de Panama. Il lui faudrait dix-huit jours avant de pénétrer dans la rade de Papeete. Ce délai parût soudain formidablement long à Charles Bocham, plus long que les trois années pendant lesquelles il avait attendu, tout d'abord, sa titularisation, constitué ensuite un petit pécule pour monter son ménage. A présent que le but était en vue, il se rendait compte qu'il n'en pouvait plus, que sa chair et son âme se refusaient à prolonger l'épreuve…
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