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  • Auteurs: Christa Merlin
  • Auteurs: Jacques Sanluys
  • Auteurs: Johannes Udhen

N° 254 - Claudia (Johannes Udhen)

2,95 €
Extrait : — Il fait une chaleur intolérable ! Et dire que tu as eu l'idée ridicule de venir ici et de choisir cette table en plein soleil, s'écria d'une voix acariâtre Mme Birkner, née von Castelat. — Une idée ridicule ! Vraiment ? Les enfants voulaient se baigner, toi aussi d'ailleurs, et vous trouvez qu'il y a trop de monde sur la plage et aux bains d'Undosa, tu te plains toujours de la chaleur ! Je ne connais pas à Starnberg d'autres lieux où l'on puisse se baigner. Mais si tu veux partir, cela m'est égal. Appelle les enfants, répondit M. Birkner exaspéré par les continuelles récriminations de son épouse. — Ah ! tu as le chic pour gâcher les vacances ! lui lança-t-elle, furieuse, en se levant pour aller à la recherche de ses filles. La mine renfrognée, Werner Birkner la suivit des yeux. Pour lui, une chose était certaine : ce n'était évidemment pas lui qui avait le « chic » pour gâcher les vacances !…

N° 95 - Dès le premier instant (Christa Merlin)

2,12 €
Alors qu'elle s'est blessée au pied, Lacey est secourue par un énigmatique inconnu qui la trouble profondément. Reporter au  Clarion , elle apprend par hasard que son sauveteur est le célèbre peintre Jonathan Grey recherché par le chroniqueur à scandale d'un journal new-yorkais. Pour le prévenir, elle n'hésite pas à se rendre en pleine nuit sur l'îlot où il se cache…

N° 254 - Claudia (Johannes Udhen)

2,95 €
Extrait : — Il fait une chaleur intolérable ! Et dire que tu as eu l'idée ridicule de venir ici et de choisir cette table en plein soleil, s'écria d'une voix acariâtre Mme Birkner, née von Castelat. — Une idée ridicule ! Vraiment ? Les enfants voulaient se baigner, toi aussi d'ailleurs, et vous trouvez qu'il y a trop de monde sur la plage et aux bains d'Undosa, tu te plains toujours de la chaleur ! Je ne connais pas à Starnberg d'autres lieux où l'on puisse se baigner. Mais si tu veux partir, cela m'est égal. Appelle les enfants, répondit M. Birkner exaspéré par les continuelles récriminations de son épouse. — Ah ! tu as le chic pour gâcher les vacances ! lui lança-t-elle, furieuse, en se levant pour aller à la recherche de ses filles. La mine renfrognée, Werner Birkner la suivit des yeux. Pour lui, une chose était certaine : ce n'était évidemment pas lui qui avait le « chic » pour gâcher les vacances !…

N° 1917 - Le dernier mot du coeur (Jacques Sanluys)

3,95 €
Extrait : A regret je franchis le portillon. C'était stupide d'avoir choisi le métro comme moyen de transport ! Il y avait une vingtaine d'arrêts, deux changements, pour aller jusqu'à « La Fourche ». Un bien long voyage ! Je m'étais privée sans raison du beau soleil d'octobre... Le bruit de la rame qui arrivait coupa court à mes réflexions. Trop tard pour changer d'avis !... Je me dirigeai vers le milieu du quai, là où allait venir se placer le wagon des « premières ». Des cris d'effroi, soudain me glacèrent… Le train stoppa net, durement. Des gens s'élancèrent vers la voiture de tête. Le conducteur sortit d'un bond de sa cabine. Il sauta sur la voie, suivi par le chef de train… Déjà, des voyageurs formaient un cercle. Je ne voulu pas me mêler à la foule. C'était un suicide, sans aucun doute. L'affreux spectacle ne m'attirait pas ! Le chef de station, qui s'était précipité pour aider ses camarades de travail à secourir la victime revenait au pas de charge vers la cabine vitrée qui lui sert de bureau…
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