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  • Auteurs: Christian Jolibois
  • Auteurs: Hubert Ben Kemoun
  • Auteurs: Léopold Remon

Ma mère m'épuise (Hubert Ben Kemoun) - Le livre de poche N° 696

2,74 €
Mélusine est dans tous ses états : son petit ami, Bruno, vient de lui annoncer qu'il la quitte. Mais c'est compter sans sa mère, championne des déboires en tout genre ! Mélusine lui promet toujours de trouver une solution à ses problèmes. « Ma mère m'épuise », voilà le slogan que Mélusine pourrait écrire sur les murs de la ville, à la place des slogans racistes qui s'y trouvent. Mais quelqu'un d'autre a déjà pris la place… À partir de 12 ans

Le jour où mon frère viendra (Christian Jolibois, Christian Heinrich)

2,56 €
« Pourquoi je n'ai pas de petit frère, moi ? » soupire Carmélito. Comme ses copains, il a envie de jouer à Saute-Poulet et à Tire-l'asticot avec un frérot ! Comment faire ? se demande Carmélito. Son ami Pédro propose alors une chose incroyable… De 6 à 9 ans.

La petite poule qui voulait voir la mer (Christian Jolibois, Christian Heinrich)

2,56 €
« Pondre, toujours pondre ! Il n'y a pas que ça dans la vie ! Moi, je veux voir la mer ! » s'écrie Carmela, la petite poule blanche. Son père, le coq, n'a jamais rien entendu d'aussi fou. « File au nid », ordonne-t-il à la poulette. Mais Carmela n'arrive pas à s'endormir… De 6 à 9 ans.

N° 1696 - Sa vraie maman ! (Léopold Remon)

2,92 €
Extrait : C'était une pauvre demeure que celle où la vieille Marie Méry se mourait. Une grande pièce au sol dallé, une alcôve et un petit réduit où l'on gardait quelques provisions, composaient le modeste intérieur. Des bouquets d'oignons suspendus décoraient les poutres. La vaste cheminée, quelques misérables meubles ornaient la pièce principale qui s'ouvrait de plain-pied sur le jardinet. Parfois, deux ou trois poules effrontées s'aventuraient jusqu'à la paillasse où dormait Pierrette. C'était toute la basse-cour de Marie Méry qui nourrissait ces volatiles de quelques miettes, et leur laissait le soin de dénicher dans les champs d'alentour le plus clair de leur subsistance. Pauvre, Marie Méry l'était, mais à la façon indifférente des vieilles paysannes qui savent côtoyer la misère sans tomber dans le sordide. Elle ne possédait aucun bien, n'avait ni bétail, ni terre. Et la maison ne lui appartenait qu'en vertu de son abandon dont elle avait su profiter depuis si longtemps…

N° 1714 - Personne au monde... (Léopold Rémon)

3,74 €
Extrait : Quand Charles Bocham pénétra dans son bureau, le scribe indigène était déjà au travail. Le jeune homme bourra sa pipe, déplaça quelques dossiers, prit un roman policier. C'était vraiment un emploi de tout repos. L'employé maori se chargeait des paperasses et s'en tirait fort bien tout seul. Pourtant, le règlement prévoyait que le titulaire du poste devait être licencié en droit. Voilà pourquoi, depuis trois ans, Charles Bocham avait quitté la France. Trois ans ! Il avait débarqué à Tahiti comme Alice au pays des merveilles. C'était presque trop beau, trop colorié. L'air était trop doux, les parfums trop sucrés, la mer et le ciel trop bleus. Mais avec le temps, les couleurs s'étaient ternies, les parfums fanés. Aujourd'hui, Charles Bocham crevait d'ennui. Même la prochaine venue de sa fiancée ne parvenait pas à le tirer de sa lassitude. Le bateau, actuellement, devait franchir le canal de Panama. Il lui faudrait dix-huit jours avant de pénétrer dans la rade de Papeete. Ce délai parût soudain formidablement long à Charles Bocham, plus long que les trois années pendant lesquelles il avait attendu, tout d'abord, sa titularisation, constitué ensuite un petit pécule pour monter son ménage. A présent que le but était en vue, il se rendait compte qu'il n'en pouvait plus, que sa chair et son âme se refusaient à prolonger l'épreuve…
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