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  • Auteurs: Christopher Pike
  • Auteurs: Jean Glachant
  • Auteurs: Jenny Du Mont
Les drôles d'idées de Dorothée (Jenny Du Mont) - Club Benjamin N° 13 - Editions Cerf-Volant
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Club Benjamin N° 13 - Les drôles d'idées de Dorothée (Jenny Du Mont)

2,55 €
Durant ses vacances, Dorothée part à la campagne chez son grand-père, qui habite une ferme. En arrivant, elle est un peu déçue, car elle croyait que son grand-père avait un poney et un singe mais il n'a qu'une poule, un coq, un lapin et une vache. Alors Dorothée va commencer à faire des bêtises ! Des histoires passionnantes à lire ou à se faire lire, pour les enfants de 5 à 9 ans. Chaque histoire est découpée en plusieurs chapitres, pour faciliter la lecture, et très illustrée, pour améliorer la compréhension du texte.

Dernier acte (Christopher Pike)

2,15 €
Mélanie n'est pas à Careville depuis longtemps, elle ne connaît personne et passe ses soirées à étudier. Aussi, quand elle décroche un rôle dans la pièce que monte la troupe du lycée, elle est folle de joie. Désormais, elle a des amis. Marc, en particulier. Mais pourquoi est-il si taciturne ? Et Rindy… Quelle fille bizarre ! Peu à peu, Mélanie comprend que tous partagent un terrible secret. Que s'est-il passé l'année précédente ? Et qui est ce mystérieux Clyde dont personne ne veut parler ? Arrive enfin le jour J : Mélanie est sur scène. Suivant le scénario, elle vise Rindy et tire. Sa partenaire s'écroule, une tache rouge apparaît sur sa chemise. Rindy ne joue plus : elle est morte. Et Mélanie se retrouve menottes aux poignets.

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…
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