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Il y a 4 produits.

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  • Auteurs: Christopher Pike
  • Auteurs: Marie de Wailly
  • Auteurs: Marthe Rochenor

Dernier acte (Christopher Pike)

2,15 €
Mélanie n'est pas à Careville depuis longtemps, elle ne connaît personne et passe ses soirées à étudier. Aussi, quand elle décroche un rôle dans la pièce que monte la troupe du lycée, elle est folle de joie. Désormais, elle a des amis. Marc, en particulier. Mais pourquoi est-il si taciturne ? Et Rindy… Quelle fille bizarre ! Peu à peu, Mélanie comprend que tous partagent un terrible secret. Que s'est-il passé l'année précédente ? Et qui est ce mystérieux Clyde dont personne ne veut parler ? Arrive enfin le jour J : Mélanie est sur scène. Suivant le scénario, elle vise Rindy et tire. Sa partenaire s'écroule, une tache rouge apparaît sur sa chemise. Rindy ne joue plus : elle est morte. Et Mélanie se retrouve menottes aux poignets.

N° 127 - Les étoiles (Mlle L. Masse) - Histoire de moustique (Marthe Rochenor)

14,00 €
16 Gravures Introduction  : « Maman, pourquoi les étoiles ne tombent-elles pas ? On les attache tous les soirs ? dis. Où vont-elles le matin ? » ajouta le gentil petit enfant qui s'intéressait à tout. Nous pensons que vous tous avez posé ces mêmes questions à vos chers Parents, qui vous ont répondu que chaque petite étoile brillante est en réalité un grand soleil et que, si elles paraissent toutes si petites, c'est qu'elles sont très, très loin d'ici. Autrefois, il y a longtemps, les gens n'étaient pas aussi savants que maintenant et les grandes personnes en savaient moins que bien des petits garçons et des petites filles de notre époque, et la plupart ignoraient ce qu'étaient les étoiles. Ils s'imaginaient toutes sortes de choses, et comme rien ne leur semblait plus beau que les astres brillant dans le ciel, ils leur donnaient le nom de leurs héros et héroïnes. La nuit venue, les étoiles apparaissaient et ces braves gens les regardaient en disant : « Tiens, ce soir Orphée joue de la lyre ! Oh ! comme Castor et Pollx brillent ! » Et ils étaient bien contents. Vous savez bien, mes chers enfants, que toutes ces histoires ne sont que des légendes ; mais si vous les lisez, elles vous aideront à vous rappeler le nom des étoiles. Puissent ces contes vous intéresser, tout en sachant que ces dieux, ces déesses, ces princes et ces princesses, ces géants et ces monstres n'ont existé que dans l'imagination de ceux qui ont écrit leurs histoires !

N° 42 - Vers l'amour... (Marie de Wailly)

6,00 €
Extrait : Une foule énorme se portait vers l'aérodrome du Bourget. Les taxis et les autocars, bondés à craquer, déversaient leurs grappes humaines au milieu de la cohue et la foule, heurtée, bousculée, riait sans une parole de mauvaise humeur, sans un geste de colère, heureuse, exubérante, ne songeant qu'à une seule chose : avancer… se bien placer… Un cordon de police, constitué par un régiment d'aviation, la repoussait doucement mais elle revenait à la charge avec tant de gaîté, tant d'entrain que les soldats souriants cédaient un peu de terrain et des voix perçantes de femmes criaient : — Bravo… vive l'armée !… A ces cris isolés s'en joignait un autre unanime, vibrant, formidable : — Vive Pierre Defresne !… C'était le héros attendu… l'as… l'enfant chéri du public…

N° 22 - Au coeur profond de la forêt (Marie de Wailly)

9,00 €
Extrait préface : Il y avait une fois, une immense étendue boisée qu'on appelait : la Forêt d'Argent. La brise la plus légère faisait frissonner le feuillage de ses trembles ; ses saules au duvet pâle et soyeux se miraient dans l'eau limpide des sources et ses bouleaux, à la blanche écorce brillante, élevaient leur tête altière vers le ciel. La Forêt d'Argent couvrait tout un coteau montant de la plaine et retournant à la vallée. A son sommet le plus escarpé se dressaient de très hauts murs de pierre grise que la végétation grimpante et luxuriante des grands bois avait pris d'assaut. Leur air rébarbatif se cachait derrière le sourire vert des feuilles et l'appel timide des fleurs. Si, trompé par leur joliesse mutine et la douceur grave de leur vêtement, on voulait connaître leur secret, on se heurtait à une porte aux épaisses ferrures, aux panneaux hérissés de clous, à la lourde serrure. Un judas minuscule permettait de parlementer de l'intérieur. Une chaîne, de la grosseur du poignet, pendait à droite de la porte dans une niche de pierre encapuchonnée de verdure. Cette chaîne était attachée à une cloche de bronze dont chaque vibration réveillait les échos endormis de la Forêt d'Argent…
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