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  • Auteurs: Christopher Pike
  • Auteurs: Paul Vincent
  • Auteurs: Pierre Montanay

N° 3007 - Et soudain, l'avalanche… (Paul Vincent) - Le commissaire-priseur (John McGregor)

4,50 €
Encarts BS Lecture 3007 à détacher Et soudain, l'avalanche… d'après le roman de Paul Vincent Sylvie a-t-elle le droit de laisser Jean-Pierre, le fils d'un promoteur parisien, transformer en station de ski La Ramaz, son village perdu au coeur des Alpes, et qui n'offre pour toute ressource qu'un petit artisanat ? Dès son arrivée de Paris, Jean-Pierre n'a d'yeux que pour Sylvie, et celle-ci ne lui est pas insensible. Mais Francis, son ami d'enfance, éprouve une haine sourde envers celui qui veut lui prendre à la fois son village et la fille qu'il aime. A mesure que Jean-Pierre convaincu de son projet les habitants du village, Francis mûrit sa vengeance. Dans le silence de la neige, amour et intérêt s'affrontent à visage nu. Témoin de cette lutte, la montagne apportera-t-elle une solution au dilemme de Sylvie ? Le commissaire-priseur d'après le roman policier de John McGregor.

Dernier acte (Christopher Pike)

2,15 €
Mélanie n'est pas à Careville depuis longtemps, elle ne connaît personne et passe ses soirées à étudier. Aussi, quand elle décroche un rôle dans la pièce que monte la troupe du lycée, elle est folle de joie. Désormais, elle a des amis. Marc, en particulier. Mais pourquoi est-il si taciturne ? Et Rindy… Quelle fille bizarre ! Peu à peu, Mélanie comprend que tous partagent un terrible secret. Que s'est-il passé l'année précédente ? Et qui est ce mystérieux Clyde dont personne ne veut parler ? Arrive enfin le jour J : Mélanie est sur scène. Suivant le scénario, elle vise Rindy et tire. Sa partenaire s'écroule, une tache rouge apparaît sur sa chemise. Rindy ne joue plus : elle est morte. Et Mélanie se retrouve menottes aux poignets.

N° 1226 - L'injustice d'un père (Pierre Montanay)

3,05 €
Extrait : Sous le feuillage épais d'un tilleul centenaire, quatre personnages sont mollement étendus dans leurs chaises de toile, autour d'une petite table où figurent pêle-mêle le café et les liqueurs, les cendriers et la boîte de cigares. La chaleur intense de cette fin de juillet semble accabler ces deux couples de jeunes mariés qui somnolent à demi. L'heure sonne au clocher proche et fait tressauter Alain Givre. — Déjà une heure ! s'écrie-t-il, en se redressant… Ah ! je resterais volontiers ici… Qu'est-ce que je vais prendre pour aller jusqu'au tram ! Pas un brin d'ombre dans cette fournaise ! — Et pourquoi diable n'achetez-vous pas une auto ? demanda Philippe Belmont ; c'est tellement commode ! Alain sourit en haussant les épaules. — Pour vous, mon cher, qui voyagez par toute la France, je comprends, mais pour moi ?… Un modeste employé s'en allant au bureau en auto ! Je n'ai pas envie de me rendre ridicule…
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