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  • Auteurs: Christy Jeffries
  • Auteurs: Marguerite Soleillant
Les jumeaux de Luke Gregson / Rencontre sous le gui - Harlequin Passions N° 692
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N° 692 - Les jumeaux de Luke Gregson (Christy Jeffries) - Rencontre sous le gui (Maureen Child)

4,15 €
Les jumeaux de Luke Gregson (Christy Jeffries) Coup de foudre à Sugar Falls - Tome 4/6 Parce qu’il ne faut jamais renoncer à l’amour… Carmen est totalement perdue. Luke Gregson – qui lui plaît terriblement depuis leur première rencontre – ne cesse de souffler le chaud et le froid avec elle. Pour elle qui recherchait de la stabilité en venant s’installer à Sugar Falls, après la grave agression dont elle a été victime, la situation devient invivable. D’autant qu’elle s’est prise d’affection pour Aiden et Caiden, les jumeaux de Luke, au point de les considérer désormais comme ses propres fils… Aussi n’a-t-elle pas le choix : elle devra confronter Luke pour comprendre son attitude… quitte à le perdre à tout jamais. Rencontre sous le gui (Maureen Child) Comment Joy Curran ose-t-elle lui dire qu’il est temps pour lui d’oublier sa femme et son fils, disparus dans des conditions tragiques cinq ans plus tôt ? Sam ne peut tolérer un tel affront alors qu’il a eu la gentillesse d’accueillir Joy et sa petite Holly chez lui pour leur éviter de dormir dehors. Mais ce qu’il supporte encore moins, c’est de se sentir attiré par Joy, alors qu’il n’a pas le droit de trahir la mémoire de sa défunte épouse, qu’il a tant aimée… Une seule solution s’offre alors à lui : demander à Joy de partir, et vite.

Corinne l'aventureuse (Marguerite Soleillant)

12,00 €
Extrait : Chapitre I : LA MAISON DES BRODEUSES Sous le feuillage d'un grand frêne, à l'écart du village, il y avait la maison des brodeuses. Elle était petite cette maison et basse sous son toit de tuiles brunes où des plaques de mousse posaient leur éclat d'or. A côté de la porte une large fenêtre brillait de tous ses carreaux, derrière un pot de géranium en fleurs. Dans le pignon, sur le rebord de l'autre fenêtre plus étroite, était posée une cage de chardonnerets. Les chardonnerets pépiaient dans leur prison ; le vent chantait aux branches du frêne. Le soleil marquait 5 heures au-dessus de la montagne. La porte s'ouvrit. Menue dans sa robe de bure bien froncée à la taille, un pli d'inquiétude au front, une vieille femme s'avança sur la marche du seuil. Elle abrita  ses yeux avec sa main pour fouiller du regard le chemin montant entre les murettes de pierre où couraient des lézards. « Je ne la vois pas revenir, dit-elle, rentrant dans la maison. — Il n'est pas encore tard, grand-mère, » répondit une fillette, assise devant un métier à broder, près de la fenêtre. « Il n'est pas tard, mais elle sait bien que nous avons du travail et qu'il faudrait t'aider, et que mes pauvres yeux ne voient plus pour enfiler des aiguilles. Ah! si je ne t'avais pas pour me consoler, Eléonore !… »
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