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  • Auteurs: Cindy Victor
  • Auteurs: Elisabeth Geoffroy
  • Auteurs: Francine Robert

N° 725 - Arabesque sur le Lac Blanc (Cindy Victor)

2,56 €
— Dites-moi, imaginez-vous toujours les dialogues de vos scènes de meurtre, sous la douche ? — Seulement quand j'ai du mal à les écrire, répliqua Spencer. Ça vaut mieux que dans un grand magasin ou un supermarché. Dans la salle de bains, personne ne m'entend parler tout seul… habituellement. — Habituellement… fit en écho Tamara, avec son radieux sourire. Spencer se sentit obligé d'y répondre…

N° 64 - Le dernier concerto (Elisabeth Geoffroy)

2,12 €
Le concerto s'interrompit à l'heure où mourut Frédéric. Des pivoines blanches s'effeuillaient sur le piano, l'amour ne reviendrait plus. Pourtant, une nuit, à l'heure où l'été entre dans l'automne, un concerto guida Natacha vers Vincent de Warnies. L'amour s'en vient. L'amour s'en va. Combien de mystères à résoudre, combien de secrets à percer pour qu'enfin il demeure ?

Le dernier concerto (Elisabeth Geoffroy)

2,74 €
Le concerto s'interrompit à l'heure où mourut Frédéric. Des pivoines blanches s'effeuillaient sur le piano, l'amour ne reviendrait plus. Pourtant, une nuit, à l'heure où l'été entre dans l'automne, un concerto guida Natacha vers Vincent de Warnies. L'amour s'en vient. L'amour s'en va. Combien de mystères à résoudre, combien de secrets à percer pour qu'enfin il demeure ?

N° 1899 - Jamais l'amour n'a su compter (Francine Robert)

2,92 €
Extrait  : — Je suis certain, en tout cas, de faire un très mauvais chef d'entreprise, un industriel exécrable ! — A ton âge, mon petit Roland, on n'est certain de rien, permets-moi de te le dire ! Et les deux interlocuteurs s'étaient dressés de chaque côté du bureau ministre qui les séparait. Un petit panneau de plexiglas posé sur la surface polie du meuble apprenait, dès leur entrée, aux visiteurs, qu'ils se trouvaient en face de « Lucien Vaudé, directeur général ». Pour la première fois de sa vie, cet homme d'affaires accoutumé à ne trouver devant lui que docilité, obéissance passive, se heurtait à une volonté qui valait peut-être la sienne : celle de son fils unique, Roland. Ce dernier venait d'avoir vingt-deux ans et on employait habituellement, pour le décrire, trois adjectifs que venait renforcer le mot « très » : « …Très grand, très brun, très sympathique… »…
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