Accueil

Accueil

Il y a 3 produits.

Affichage 1-3 de 3 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Cindy Victor
  • Auteurs: Henri Mansvic
  • Auteurs: Susanna Firth

N° 57 - Le maître du jeu (Susanna Firth)

2,56 €
Max Anderson… dès qu'elle l'aperçut, Vanessa comprit que la soirée serait un désastre. Elle aurait pourtant dû se douter qu'il serait invité. Elle était bien placée pour connaître le crédit dont jouissait l'homme qui faisait et défaisait les stars : trois mois plus tôt, le célèbre critique avait éreinté sans pitié la pièce où elle jouait. Avec rancune, elle observa son ennemi. L'homme ne manquait pas de séduction, mais quelle arrogance ! Leurs regards se croisèrent. L'avait-il reconnue ? Déjà il avançait vers elle, une coupe à la main. — Puis-je offrir un verre à la plus jolie femme de la soirée ? — Merci, dit-elle, tendue. — Suis-je importun ? J'avais pourtant cru lire comme une invite dans vos yeux. — Eh bien, disons que vous vous êtes trompé, monsieur. — Dommage, votre regard était pourtant éloquent, rétorqua-t-il avec un petit rire cynique. A moins que vous ne soyez une excellente comédienne…

N° 725 - Arabesque sur le Lac Blanc (Cindy Victor)

2,56 €
— Dites-moi, imaginez-vous toujours les dialogues de vos scènes de meurtre, sous la douche ? — Seulement quand j'ai du mal à les écrire, répliqua Spencer. Ça vaut mieux que dans un grand magasin ou un supermarché. Dans la salle de bains, personne ne m'entend parler tout seul… habituellement. — Habituellement… fit en écho Tamara, avec son radieux sourire. Spencer se sentit obligé d'y répondre…

N° 544 - Celle qui aime... (Henri Mansvic)

3,74 €
Extrait :  En pleine Sarthe, sur la pente d'une colline boisée au pied de laquelle une rivière ondule, se dresse le vieux château de Menonville. On y accède par un chemin moussu, tout bordé de haies vives, qui, par ce matin de mai ensoleillé, verdoient et parfument. A l'heure où nous y pénétrons avec notre lecteur, un homme, presque un vieillard, est assis dans un petit salon solitaire. Les coudes sur une table, l'oeil fixe, la tête dans ses deux mains, il songe. Et ce à quoi il songe doit être profondément triste, car de longs soupirs s'échappent par instants de sa poitrine oppressée. Les mauvaises nouvelles, qu'il pressentait il y a quelques jours, s'étaient en effet confirmées hier. Il n'y avait plus de doute possible, et le désastre était absolu de la banque qui détenait sa fortune…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire