Chariot
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La maison du maltais (Jean Vignaud) - Collection Gründ illustrée N° 16
4,50 €
Extrait : Chapitre VII Le matin jeta dans la rue un autre Matteo, un Matteo impatient, qui, dans sa hâte de se mettre au travail, bouscula sans le reconnaître le fumigateur dont l'encens parfumé de benjoin distribue, pour la semaine, du bonheur dans chaque maison. Franchie la Porte de la mer, il enleva ses sandales pour courir plus vite vers le quai aux phosphates. Il avait suffi d'une nuit d'amour pour opérer ce miracle. Jamais Matteo n'avait connu semblables délices ; certains mots l'exaltaient encore comme si Safia eût été présente. Lui, pauvre portefaix, avait été salué par cette beauté des îles comme un prophète « Ia Robbi, Ia Allah, ô mon maître, ô mon Dieu ! » Safia entre ses bras avait soupiré ces paroles, le corps palpitant comme celui d'un pigeon qu'on étouffe. Et c'est pour réentendre ces mots, ces soupirs, qu'il lui fallait de l'argent. Il voulait, tout comme les notables qui cachaient des fortunes derrière leurs haies de tabias, dans la banlieue sfaxienne, pouvoir parer sa maîtresse, l'étourdir de cadeaux. Fini, désormais, le temps où Matteo musait d'une barque à l'autre, criblant de ses quolibets Maltais et Siciliens ; finies, les flâneries chez Gordina, les siestes sur le sable chaud du chenal. Tout cela était le passé, un cadavre que Safia avait piétiné de ses petits talons marqués de henné…
N° 178 - La vie en rose et noir (Charlotte Hughes)
3,50 €
En tailleur de lin beige, collier de perles et chapeau, Marilee est prête pour son suicide. Enfermée dans le garage, elle contemple le moteur de sa voiture. Bientôt, le monoxyde de carbone envahira lentement mais sûrement ses poumons. Une mort quasi indolore, paraît-il. Qu'a-t-elle à perdre, après tout ? Son mari, pasteur de l'église baptiste de Chickpea, est parti vivre avec «la putain de la ville» ; son fils Josh, en pleine crise d'adolescence, l'a abandonnée pour suivre le père indigne... De sa vie si respectable hier encore, il ne reste rien. Alors ? Alors, même la mort lui résiste. Au moment de faire le plein d'essence, surprise : le jerricane est vide. Et quand elle se rabat sur une corde de fortune pour se pendre, un séduisant voisin se pointe contre toute attente pour la sauver. Diable, se suicider n'est pas une mince affaire. Un signe ? Un électrochoc, en tout cas. Aussi vite qu'elle a sombré, Marilee décide de remonter la pente. Mieux : de conquérir une nouvelle liberté. Une liberté qui prend le visage d'un véritable défi lorsque Marilee retrouve ses amies de la paroisse qui, elles, ne l'ont pas abandonnée et qui se font une idée précise de ce que doit être son avenir...