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  • Auteurs: Clair Arthur
  • Auteurs: Léopold Remon
  • Auteurs: Rosie Rushton
Rien ne va plus ! T2 : Victoria (Rosie Rushton) - Pocket Junior
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Rien ne va plus ! T2 : Victoria (Rosie Rushton)

2,95 €
Victoria (Rosie Rushton) Rien ne va plus ! Tome 2 Victoria est comblée ! Sa famille ? Modèle ! Son visage ? Ravissant ! Son énergie ? Inépuisable ! Son agenda ? Rempli ! Organiser une fête, révolutionner la vie au collège, réconforter son amie Livie qui déprime : rien ne l'arrête. Vickie maîtrise TOUT ! Vraiment ? Et quand son père craque ? Présente ! hurle Vickie. Elle va le sortir du pétrin, promis, juré ! et AU PAS DE COURSE ! À partir de 11 ans

Rien ne va plus ! T5 : Charlotte (Rosie Rushton)

1,98 €
Charlotte (Rosie Rushton) Rien ne va plus ! Tome 5 Charlotte est ravie : elle part à Vienne avec sa chorale. Adieu la campagne qu'elle déteste, adieu les éternelles disputes de ses parents ! Vive le festival de chant ! Et bonjour Marc, qu'elle rencontre là-bas. Marc qui ne la quitte plus d'une semelle. À lui, elle pourra se confier. Révéler enfin le secret qui la tourmente tant… À partir de 11 ans.

Rien ne va plus ! T1 : Sophie (Rosie Rushton)

2,56 €
Sophie (Rosie Rushton) Rien ne va plus ! Tome 1 Sophie a tout pour elle : elle est belle, drôle, intelligente. Pourtant sa vie amoureuse est un désastre : elle aime séduire, mais après… ça se gâte. Généreuse, elle voudrait sauver la terre entière, s'attaquer à la misère, la faim dans le monde, donner un sens à sa vie. Pourra-t-elle tout porter sur ses frêles épaules sans craquer ? Heureusement, il y a Tony, super-timide, pas très beau, pas très cool, mais tellement drôle !!! À partir de 11 ans

N° 1696 - Sa vraie maman ! (Léopold Remon)

2,92 €
Extrait : C'était une pauvre demeure que celle où la vieille Marie Méry se mourait. Une grande pièce au sol dallé, une alcôve et un petit réduit où l'on gardait quelques provisions, composaient le modeste intérieur. Des bouquets d'oignons suspendus décoraient les poutres. La vaste cheminée, quelques misérables meubles ornaient la pièce principale qui s'ouvrait de plain-pied sur le jardinet. Parfois, deux ou trois poules effrontées s'aventuraient jusqu'à la paillasse où dormait Pierrette. C'était toute la basse-cour de Marie Méry qui nourrissait ces volatiles de quelques miettes, et leur laissait le soin de dénicher dans les champs d'alentour le plus clair de leur subsistance. Pauvre, Marie Méry l'était, mais à la façon indifférente des vieilles paysannes qui savent côtoyer la misère sans tomber dans le sordide. Elle ne possédait aucun bien, n'avait ni bétail, ni terre. Et la maison ne lui appartenait qu'en vertu de son abandon dont elle avait su profiter depuis si longtemps…

N° 1714 - Personne au monde... (Léopold Rémon)

3,74 €
Extrait : Quand Charles Bocham pénétra dans son bureau, le scribe indigène était déjà au travail. Le jeune homme bourra sa pipe, déplaça quelques dossiers, prit un roman policier. C'était vraiment un emploi de tout repos. L'employé maori se chargeait des paperasses et s'en tirait fort bien tout seul. Pourtant, le règlement prévoyait que le titulaire du poste devait être licencié en droit. Voilà pourquoi, depuis trois ans, Charles Bocham avait quitté la France. Trois ans ! Il avait débarqué à Tahiti comme Alice au pays des merveilles. C'était presque trop beau, trop colorié. L'air était trop doux, les parfums trop sucrés, la mer et le ciel trop bleus. Mais avec le temps, les couleurs s'étaient ternies, les parfums fanés. Aujourd'hui, Charles Bocham crevait d'ennui. Même la prochaine venue de sa fiancée ne parvenait pas à le tirer de sa lassitude. Le bateau, actuellement, devait franchir le canal de Panama. Il lui faudrait dix-huit jours avant de pénétrer dans la rade de Papeete. Ce délai parût soudain formidablement long à Charles Bocham, plus long que les trois années pendant lesquelles il avait attendu, tout d'abord, sa titularisation, constitué ensuite un petit pécule pour monter son ménage. A présent que le but était en vue, il se rendait compte qu'il n'en pouvait plus, que sa chair et son âme se refusaient à prolonger l'épreuve…
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