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  • Auteurs: Clair Arthur
  • Auteurs: Delly
  • Auteurs: Max Dervioux
Reinette (Delly) - Editions Plon
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Reinette (Delly)

4,05 €
Marie-Reine du Helly — Reinette — est orpheline. Elle a été recueillie par son tuteur, M. Douvre, qui laisse à une épouse autoritaire le soin de son éducation. Mme Douvre, craignant que cette jeune fille sans fortune ne plaise à l'un de ses fils, voudrait la marier au plus vite. Elle la force à se fiancer à un savant bien plus âgé qu'elle, Valéry Logart, décidé à épouser une femme qu'il pourrait façonner à sa guise, suivant des théories très arrêtées. Quelques jours avant le mariage, Marie-Reine qui est très pieuse, sentant que son fiancé combattra sa foi, rompt avec éclat. Valéry en épouse une autre et ce mariage est un échec. Devenu veuf, il retrouvera Marie-Reine. Le savant se rend compte de ce qu'il a perdu par son intransigeance, il juge enfin à leur valeur le charme et les profondes qualités morales de Reinette et il finira par l'épouser. Marie-Reine est une des plus émouvantes héroïnes de Delly. Le roman, plein de péripéties inattendues, est de ceux qu'on lit sans pouvoir les quitter.

Annonciade (Delly)

3,50 €
Wennaël songeait à l’amour d’Annonciade, à sa radieuse beauté. Une griserie l’envahissait. Mais elle se mêlait à un sentiment gênant et inconnu de lui qui ressemblait à du remords... Par jeu, le superbe et fantasque marquis Wennaël de Pennelon s’amuse à troubler Annonciade. La naïve et pure Annonciade qui tient d’une ascendance grecque sa grâce inimitable... Parviendra-t-elle à enchaîner ce coeur volage ? Wennaël repart bientôt vers sa vie brillante et superficielle, laissant la jeune fille profondément meurtrie. Quelques mois plus tard, en Bretagne, un hasard les réunit à nouveau. Wennaël sort d’un drame, désespéré. Il a été grièvement blessé, atteint aux yeux... Aucune foi ne le soutient dans son épreuve. Annonciade croit avoir cessé d’aimer cet homme plus que jamais cynique dans sa souffrance... Le fuira-t-elle, un soir, alors qu’elle voit s’avancer, dans la clarté crépusculaire du ciel breton, la haute silhouette de Wennaël ?

Aélys aux cheveux d'or (Delly)

4,90 €
— On ne se marie pas pour son plaisir ! décrète d'un ton sévère dame Véronique, la gouvernante de la jeune Aélys. Aélys de Croix-Givre vient d'apprendre que son père, avant de mourir, l'a destinée au prince Lothaire. Elle repousse avec effroi l'idée de s'unir au descendant des Waldenstein qui, toujours, furent « aussi cruels et terribles que les pires fauves ». Le prince est superbe, hautain, satanique. Ne prenait-il pas plaisir, adolescent, à faire fouetter ses serviteurs ? Vaincre est sa passion. Aélys le hait, il le sait. La perspective de l'épouser le séduit. Soumettre cette jeune fée aux cheveux d'or sera fort amusant... Dans l'entourage du prince, on s'oppose à ce mariage. Pour évincer Aélys, la belle Sidonia, de sang noble elle aussi, est prête à tout. Aélys et Lothaire s'épouseront-ils ? Quand le prince contemple sa fiancée, il passe parfois, dans son regard, une étrange douceur... Source : Librairie Jules Tallandier

Lysis suivi de L'étoile du Roi Boris (Delly)

6,50 €
« Vous êtes catholique, fervent pratiquant de votre religion, monsieur de Malay. Lysis, ma soeur que vous voulez épouser, est païenne. Elle doit le rester. C'est à cette condition que je vous accorde sa main. De plus, votre mariage ne sera pas célébré à l'église. Une simple cérémonie civile légalisera la situation ». Jean de Malay ne peut accepter ces conditions qui lui sont imposées par Irène Dormier ; celle-ci a élevé Lysis et son frère Hélos dans le plus profond paganisme. Elle rejette la pratique de toute religion, contestant qu'elle puisse être un soutien aux heures de faiblesse et une consolation dans les inévitables épreuves de l'existence. Plutôt que de renier sa foi, Jean préfère rompre avec Lysis. C'est la séparation, mais la vie remettra plus tard en présence les deux jeunes gens dans des circonstances tout autres. Et Irène, à l'approche de la mort, sollicitera d'eux le pardon de ses erreurs et même… d'un crime.

La maison des Belles Colonnes T1 : La louve dévorante (Delly)

8,00 €
Jour néfaste, que celui où doña Encarnacion, comtesse de Villaferda, son fils don Rainaldo et sa toute jeune épouse doña Enriqueta sont venus s'installer dans la maison des Belles Colonnes ! Des cousins de ces nobles Espagnols, les Fauveclare, habitent la demeure mitoyenne : Melchior, qui est veuf, ses deux enfants Aubert et Isabelle, ainsi que la douce Anne, sa soeur. Une grave discorde sépare depuis toujours les deux familles. Elles s'intensifie, lorsque l'âme damnée de doña Encarnacion, l'intrigante Claudia de Winfeld, que l'on a surnommée "la louve dévorante", jette son dévolu sur le faible Melchior… Des drames vont éclater dans cette atmosphère empoisonnée… Quel sera le sort de la fragile Enriqueta, qui tremble et se révolte sous la férule d'une belle-mère au coeur sec ? Peut-elle espérer un secours de Rainaldo, son mari qui la délaisse ? Source : Editions Tallandier

N° 1663 - Le maître des coeurs (Max Dervioux)

3,74 €
Extrait : Renaud Sorel regarda la maison de granit située à l'entrée de cette petite ville du Morbihan où il était venu chercher oubli et solitude. — On dit qu'elle est hantée, remarqua-t-il en souriant. La vieille dame chargée de la location hocha la tête gravement : — Cela dépend des gens qui l'habitent. Ceux qui ont peur, dame… C'est pour ça que le prix en est si bas, m'sieu le Parisien. —Oh ! je ne redoute pas les fantômes, cela m'amuserait même de me rencontrer avec l'un d'eux, fit-il avec quelque ironie. — Monsieur est peut-être venu ici pour faire des expériences ? — Qui sait… Il s'adonnait, en amateur, aux sciences diverses, lorsque l'art, dans lequel il s'était illustré, lui laissait des loisirs. Paysagiste déjà célèbre par ses toiles hardies, Sorel avait révolutionné les lois de la peinture, en la ramenant vers plus de logique tout en laissant aux jeux de la lumière une prépondérance pleine d'intensité…

N° 1630 - L'aveu d'une honte (Max Dervioux)

3,74 €
Extrait : — On peut vous embaucher pour aider à la décoration de la salle, il y aura un grand gala, demain soir au casino et il nous faut des girandoles d'ampoules électriques… Puisque vous vous y connaissez… Pierre Guerlin murmura : — J'accepte… Il avait faim… Après avoir tenté vainement de trouver divers emplois, à Paris, il avait pris le train pour Deauville en plein mois d'août, espérant bien dénicher du travail enfin. Les excellentes études qu'il avait faites ne lui avaient servi à rien mais il possédait à son actif quelque adresse manuelle. C'était son plus sûr bagage. Tous les siens étaient morts, il n'avait pas de bien, que ses deux mains et son cerveau, inutilement meublé des connaissances courantes réclamées dans les examens. C'était un grand garçon au maigre visage, aux yeux d'acier bleu, racé en dépit de ses brusques façons, dues à l'amertume que lui inspiraient ses nombreuses déconvenues dans ses recherches pour une situation. A Deauville il allait pouvoir vivre pendant quelques semaines, puis il repartirait chercher de l'ouvrage ailleurs…

N° 1147 - L'amour aux enchères (Marx Dervioux)

3,05 €
Extrait : Lia Bermin relut plusieurs fois d'un air atterré, la lettre qu'elle tenait entre ses mains... Francis, son petit Francis, c'était impossible... Il n'avait pas fait ça. Elle sentait le sol se dérober sous elle, dans la modeste chambre de cette pension de famille située sur les hauteurs de Dinard. Cette catastrophe était pire que tout, et pourtant, le destin ne l'avait guère ménagée jusqu'alors… Orpheline de père et de mère à dix-huit ans et complètement ruinée, mal préparée pour la lutte, elle avait dû prendre le premier emploi venu, celui de manucure dans un institut de beauté parisien, qui l'avait envoyée sur cette plage pour la saison d'été dans une succursale proche des grands hôtels. Son frère Francis, un peu plus jeune qu'elle, en sortant de l'Ecole du Commerce, avait trouvé un poste de comptable dans une fabrique de Limoges. Brun, autant qu'elle était blonde, séduisant, fougueux, révolté souvent contre le sort rude il avait connu, dans la ville qu'il habitait, une jeune femme mariée dont il avait fait sa maîtresse, et, pour satisfaire les caprices de celle-ci, ne s'était-il pas peu à peu endetté, puis affolé il avait volé une somme de cent mille francs dans la caisse qui lui était confiée : Voilà ce qu'il avouait à sa soeur…

N° 1566 - Tu seras comtesse (Max Dervioux)

3,74 €
Extrait : Mireille regarda avec admiration autour d'elle. Le vieux château, situé en plein Rouergue, d'une si fière allure, entouré de bois, faisait une fameuse opposition avec l'humble logis qu'elle avait habité jusqu'alors, en compagnie de son père, ancien domestique retraité des comtes de Girac. Elle avait passé son enfance en Dordogne, chez sa grand-mère, qui l'avait élevée quand elle était orpheline et pendant que Gustave Méchain était encore en service au manoir de ses maîtres. Mireille avait vécu comme une paysanne, puis elle était entré dans une modeste pension, où elle avait acquis une solide instruction. L'aïeul était morte au moment où la jeune fille atteignait ses dix-huit ans, et son père, qui avait vu ses forces décliner après plusieurs bronchites successives, était revenu vivre auprès d'elle, au pays. A soixante ans, après avoir servi fidèlement le vieux comte de Girac, il avait reçu de lui une pension de trente mille francs. Celle-ci eût été insuffisante s'il n'y avait ajouté le revenu de son petit bien…
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