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  • Auteurs: Clair Arthur
  • Auteurs: Marie de Wailly
  • Auteurs: Philippe Aymond

N° 42 - Vers l'amour... (Marie de Wailly)

6,00 €
Extrait : Une foule énorme se portait vers l'aérodrome du Bourget. Les taxis et les autocars, bondés à craquer, déversaient leurs grappes humaines au milieu de la cohue et la foule, heurtée, bousculée, riait sans une parole de mauvaise humeur, sans un geste de colère, heureuse, exubérante, ne songeant qu'à une seule chose : avancer… se bien placer… Un cordon de police, constitué par un régiment d'aviation, la repoussait doucement mais elle revenait à la charge avec tant de gaîté, tant d'entrain que les soldats souriants cédaient un peu de terrain et des voix perçantes de femmes criaient : — Bravo… vive l'armée !… A ces cris isolés s'en joignait un autre unanime, vibrant, formidable : — Vive Pierre Defresne !… C'était le héros attendu… l'as… l'enfant chéri du public…

Les voleurs de villes (Pierre Christin, Philippe Aymond)

8,40 €
En reportage à Jérusalem, Graziella Plattner et Charlotte Estève visionnent des images prises la veille au Mur des Lamentations. Elles tombent sur une anomalie visuelle qu'elles imputent tout d'abord à un défaut de filmage. Mais non ! Un pan entier du Mur a disparu dans la nuit ! Tandis que Graziella part pour un mystérieux rendez-vous vers la Mer Morte, Charlotte regagne Paris. Au siège de leur agence vidéo, elle découvre qu'il se passe de drôles de choses aussi dans la capitale, puisque des bouts d'immeubles ou de monuments semblent avoir été embarqués par des vandales. Et ce n'est qu'un début ! Car une partie des richesses architecturales de la planète est bel et bien en train de s'envoler sans laisser de traces. Derrière la belle Graziella et l'astucieuse Charlotte va s'engager une quête haletante, où se lit aussi l'aventure urbaine du monde moderne.

N° 22 - Au coeur profond de la forêt (Marie de Wailly)

9,00 €
Extrait préface : Il y avait une fois, une immense étendue boisée qu'on appelait : la Forêt d'Argent. La brise la plus légère faisait frissonner le feuillage de ses trembles ; ses saules au duvet pâle et soyeux se miraient dans l'eau limpide des sources et ses bouleaux, à la blanche écorce brillante, élevaient leur tête altière vers le ciel. La Forêt d'Argent couvrait tout un coteau montant de la plaine et retournant à la vallée. A son sommet le plus escarpé se dressaient de très hauts murs de pierre grise que la végétation grimpante et luxuriante des grands bois avait pris d'assaut. Leur air rébarbatif se cachait derrière le sourire vert des feuilles et l'appel timide des fleurs. Si, trompé par leur joliesse mutine et la douceur grave de leur vêtement, on voulait connaître leur secret, on se heurtait à une porte aux épaisses ferrures, aux panneaux hérissés de clous, à la lourde serrure. Un judas minuscule permettait de parlementer de l'intérieur. Une chaîne, de la grosseur du poignet, pendait à droite de la porte dans une niche de pierre encapuchonnée de verdure. Cette chaîne était attachée à une cloche de bronze dont chaque vibration réveillait les échos endormis de la Forêt d'Argent…
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