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  • Auteurs: Clair Arthur
  • Auteurs: Marguerite Soleillant
  • Auteurs: Vic St Val
Équilibre de la terreur - Vic St Val - Espiomatic - Fleuve Noir
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Équilibre de la terreur (Vic St Val)

2,95 €
La terreur ? Ça va, dans le genre « force de frappe », de la première taloche paternelle jusqu'à l'éventail, jusqu'à l'épouvantail des gadgets nucléaires ! L'équilibre ? C'est quand les terreurs se balancent… Mais il faut, pour que ça dure, que tous les trouillomètres restent au même niveau, avec le même degré d'intensité ! Le terrorisme ? C'est comme son nom l'indique, l'application de la terreur. Avec la répression, en face, pour l'équilibrer ou pas, selon les individus et les circonstances. Le hic, c'est qu'on peut tout justifier avec des théories. Même l'enlèvement politique. Même la prise d'otages. Même le meurtre. Elle est bien, Bonn, je vous jure, quand il y règne cette atmosphère de guerre civile !

Corinne l'aventureuse (Marguerite Soleillant)

12,00 €
Extrait : Chapitre I : LA MAISON DES BRODEUSES Sous le feuillage d'un grand frêne, à l'écart du village, il y avait la maison des brodeuses. Elle était petite cette maison et basse sous son toit de tuiles brunes où des plaques de mousse posaient leur éclat d'or. A côté de la porte une large fenêtre brillait de tous ses carreaux, derrière un pot de géranium en fleurs. Dans le pignon, sur le rebord de l'autre fenêtre plus étroite, était posée une cage de chardonnerets. Les chardonnerets pépiaient dans leur prison ; le vent chantait aux branches du frêne. Le soleil marquait 5 heures au-dessus de la montagne. La porte s'ouvrit. Menue dans sa robe de bure bien froncée à la taille, un pli d'inquiétude au front, une vieille femme s'avança sur la marche du seuil. Elle abrita  ses yeux avec sa main pour fouiller du regard le chemin montant entre les murettes de pierre où couraient des lézards. « Je ne la vois pas revenir, dit-elle, rentrant dans la maison. — Il n'est pas encore tard, grand-mère, » répondit une fillette, assise devant un métier à broder, près de la fenêtre. « Il n'est pas tard, mais elle sait bien que nous avons du travail et qu'il faudrait t'aider, et que mes pauvres yeux ne voient plus pour enfiler des aiguilles. Ah! si je ne t'avais pas pour me consoler, Eléonore !… »
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