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  • Auteurs: Claire Chollet
  • Auteurs: Philippine Terris
  • Auteurs: Rosa M. Curto

Luce de lune (Claire Chollet, Maryline Rich)

2,55 €
Luce de Lune, la marchande de souliers est un conte initiatique et merveilleux rattrapé par moment par la réalité contemporaine. Les clients de la boutique du Soulier peuvent venir de loin : des plaines de Sibérie, d'Afrique à dos d'éléphant. Ce sont aussi des clients de la ville : horloger, banquier, vieillards, manouches. Tous ne pénètrent pas dans un magasin de chaussures traditionnel mais dans une boutique de créateur où les chaussures sont cousues de matières oniriques. Un jour surgit un être merveilleux : Chabadabada aux longs pieds. Muée par une force étrange, elle grandit et maigrit jusqu'à se métamorphoser en un lacet qui sera malencontreusement découpé en morceaux. Luce de Lune, touchée, s'emploiera à la remettre sur pieds…

Les fées nous enseignent… l'humilité (Rosa M. Curto, Aleix Cabrera)

4,55 €
L'humilité est une grande vertu. C'est la disposition à reconnaitre ses propres limites et erreurs, et a accepter sereinement les critiques d'autrui. Cette vertu s'accompagne toujours de la volonté de s'améliorer chaque jour. Voici une histoire illustrée, pleine de sensibilité, quasi magique. Elle met en scène la fée Susy, qui offre un extraordinaire exemple de simplicité à ses amies, et cela sans ostentation. Consciente de sa fragilité, celle-ci décide de se présenter à une sorte de concours, mais ce qu'elle propose sera tourné en ridicule par toutes ses camarades. C'est pourtant elle qui va finir par susciter l'admiration et le respect de toutes les autres fées !

N° 3417 - Mensonge et passion (Philippine Terris)

3,75 €
Mensonge et passion Un roman inédit de Philippine Terris Extrait : J'eus un soupir exaspéré et, pendant une seconde, je crus que j'allais me jeter sur la toile, pour la lacérer. Je me contentai d'essuyer mon pinceau soigneusement. Par les vitres de l'atelier, une blafarde lumière d'hiver tombait sur le tableau que j'étais en train de peindre. Le costume de l'homme en rouge paraissait plus éclatant et plus pâle, son visage anguleux : — Mais les yeux… Je n'arrive pas à peindre les yeux… Et j'arrachai ma blouse, à grands gestes impatients. J'avais mal à la tête, une subite envie de pleurer. Il est terrible d'essayer de traduire en formes, en couleurs, ce qui est le reflet mouvant de votre imagination.. — Quelquefois, c'est même impossible, murmurai-je. Je détournai le regard de l'homme en rouge. Je finirais par le détester, ce visage sans regard, dont la bouche souriait, dédaigneuse…
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