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  • Auteurs: Ariel Berk
  • Auteurs: Claire Ubac

Diablesse (Claire Ubac)

2,92 €
Est-ce la faute de Lucie, si on lui en veut d'être la petite dernière ? Est-ce sa faute si elle a cassé le kaléidoscope de sa soeur et si elle ne l'a pas recollé exactement comme il fallait ? Est-ce sa faute si elle se sent différente du reste de sa famille ? Si elle est la seule à aimer le série  La vipère obscure ? Et si elle adore rester sur le seuil de la maison, les soirs d'orage, pour regarder les éclairs et écouter le tonnerre déchirer le ciel ? « Tu as des goûts de diablesse », lui a dit un jour se grand-mère. Eh bien, c'est entendu, Lucie sera une diablesse, puisqu'ils y tiennent. Elle tombera amoureuse du nouveau de la classe, un vrai ténébreux, qui porte des basket Méphisto . Elle se fera surprendre par la maîtresse en train d'écrire le plus sombre des poèmes. Elle se fâchera avec ses amies et s'attirera un bon paquet d'ennuis. Et elle racontera tout dans son journal. Si vous voulez le lire, vous n'avez qu'a ouvrir ce livre.

N° 482 - Les Hauts de Glenville (Ariel Berk)

2,56 €
Mon chéri ! Quelle surprise ! — Pour une surprise… c'est une surprise ! reconnut Nick, perplexe. A vrai dire, il n'avait jamais vu la jolie rousse qui venait de se jeter à son cou ! Tout en l'enlaçant comme elle l'y invitait, il regarda autour de lui pour essayer de comprendre quelles circonstances avaient poussé dans ses bras cette créature de rêve. Ah oui… Un peu plus loin, un grand dadais de quinze ans observait la scène d'un air contrit. La belle audacieuse avait probablement monté cette mise en scène pour décourager l'amoureux transi en baskets. Une mise en scène ma foi fort agréable, comme semblait aussi le penser sa fiancée d'opérette tandis qu'il resserrait son étreinte. Alors, charmé par ce jeu, Nick lui murmura : — Etes-vous libre pour déjeuner, ma chérie ?

N° 359 - Le coeur partagé (Ariel Berk)

2,15 €
La nuit s’épaississait au détour des allées. Une brise de printemps agitait les arbres du parc. Ils demeuraient silencieux, blottis l’un contre l’autre au fond de la calèche. Audrey avait posé sa tête sur l’épaule de Douglas, les lèvres encore humides du baiser qu’ils venaient d’échanger, le corps tout frémissant des mots sans équivoque qu’il avait murmurés. Elle aussi le désirait. De tout son corps, de toute son âme. Mais quoi qu’il arrive, Douglas aurait toujours un fils. Un fils qui, quoi que Douglas en dise, leur interdirait toujours de s’aimer.
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