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  • Auteurs: Claude Dominique
  • Auteurs: Jeanine et Jean Guion
Ratus et les lapins - Jeanine et Jean Guion - Ratus Poche N° 2
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Ratus et les lapins (Jeanine et Jean Guion)

2,56 €
Ratus a décidé de faire construire un immeuble pour les lapins. Il a tout prévu : des terrasses avec de l'herbe et une grande piscine toute bleue. Mais cela coûte cher et les lapins ne sont jamais contents ! Heureusement, Ratus est malin…
Ratus à la ferme (Jeanine et Jean Guion) - Ratus Poche N° 41
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Ratus à la ferme (Jeanine et Jean Guion)

2,15 €
Ratus et ses amis passent leurs vacances à la campagne pour apprendre à être fermiers. C'est difficile ! Le rat vert préfère s'amuser et faire des farces aux animaux. Mais les chèvres et le coq ont mauvais caractère, les oies pincent, et le taureau est furieux !

N° 1661 - Coeur égaré (Claude Dominique)

3,05 €
Extrait  : L'agent leva son bâton blanc. La file des autos resserrées et emboitées les unes dans les autres comme les soufflets d'un immense accordéon, se déroula aussitôt, par enchantement. Dociles, tels les soldats d'une revue, les véhicules se dirigèrent par file, à gauche, vers les boulevards ; à droite, vers la Madeleine, obéissant à un invisible signe. Les piétons, massés sur le terre-plein, en cohue obscure et moutonnière, purent croire qu'ils allaient encore rester là, prisonniers de l'effarante circulation aux mille tentacules, quand il y eut brusquement un coup de sifflet. Les voitures qui arrivaient sur l'allée gauche de l'Opéra stoppèrent, surprises d'être ainsi arrêtées avant que le signal rouge n'ait fonctionné. Mais les premières qui ouvraient la marche avaient pu voir une auto buter contre le trottoir de droite, rebondir vers le refuge, puis s'immobiliser, l'aile gauche à moitié aplatie contre le mur où le ressaut l'avait envoyée. Tout le monde se précipita…

N° 1661 - Coeur égaré (Claude Dominique)

3,74 €
Extrait : L'agent leva son bâton blanc. La file des autos resserrées et emboitées les unes dans les autres comme les soufflets d'un immense accordéon, se déroula aussitôt, par enchantement. Dociles, tels les soldats d'une revue, les véhicules se dirigèrent par file, à gauche, vers les boulevards ; à droite, vers la Madeleine, obéissant à un invisible signe. Les piétons, massés sur le terre-plein, en cohue obscure et moutonnière, purent croire qu'ils allaient encore rester là, prisonniers de l'effarante circulation aux mille tentacules, quand il y eut brusquement un coup de sifflet. Les voitures qui arrivaient sur l'allée gauche de l'Opéra stoppèrent, surprises d'être ainsi arrêtées avant que le signal rouge n'ait fonctionné. Mais les premières qui ouvraient la marche avaient pu voir une auto buter contre le trottoir de droite, rebondir vers le refuge, puis s'immobiliser, l'aile gauche à moitié aplatie contre le mur où le ressaut l'avait envoyée. Tout le monde se précipita…
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