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  • Auteurs: Claude Dompierre
  • Auteurs: Faye Morgan
  • Auteurs: Jean Glachant

Cristal N° 9 - L'héritière de la Sierra Madre (Claude Dompierre)

2,56 €
Des centaines d'hommes abrutis d'alcool, prisonniers des barbelés, surveillés par des contremaîtres inflexibles et des gardes en armes. C'est le travail de la mine, impitoyable. Dans ce Mexique brûlé de soleil, Mélissa, la petite Parisienne est venue rejoindre son père. Tiraillée entre la tendresse filiale, le chagrin et la peur, elle devra lutter contre l'attirance qu'elle ressent pour Constantin, le propriétaire de cet or, cause de tant de souffrance. Un combat avec, tout au bout, peut-être l'amour…

N° HS - Pour te trouver toi (Faye Morgan) - Un printemps fiévreux (Simone Hadary)

1,95 €
Pour te trouver toi (Faye Morgan) C'était la quatrième cause que Linda perdait contre le même adversaire... Avocat "nommé d'office" pour défendre une clientèle imposée, elle n'avait aucune chance contre l'éminent juriste Jefferson T. Langford ! Tout les sépare, et pourtant son adversaire lui fait une proposition bien tentante…  Résistera-t-elle longtemps au charme perfide du trop beau Jefferson ? Un printemps fiévreux (Simone Hadary) Un matin d'avril, parce qu'elle a une panne de voiture, Cathy rencontre Robbie. Elle est divorcée, mère de quatre enfants, professeur à l'université d'Orange dans l'Ohio. Il est étudiant dans cette même université. Elle a trente-six ans, il en a vingt-cinq… Le désir naît entre eux. Est-ce seulement la fièvre du printemps ? Ou le prélude à un véritable amour ?

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…
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