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  • Auteurs: Claude Klotz
  • Auteurs: Marguerite Soleillant
Drôle de samedi soir (Claude Klotz) - Le livre de poche N° 216
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Drôle de samedi soir (Claude Klotz) - Le livre de poche N° 216

2,56 €
Drôle de Samedi soir suivi de Rue de la Chance et de Le mois de mai de Monsieur Dobichon Un quiproquo, une fortune inattendue, un étrange défi… un petit rien peut parfois bouleverser une soirée… ou une vie ! Comment Harp, 10 ans, amateur de télé et de poulet mayonnaise pourrait-il neutraliser quatre cambrioleurs seul et sans se fatiguer ? Qu'y a-t-il de commun entre un gangster en fin de carrière et une vieille dame mal aimée ? Comment un ascenseur à la vitre cassée transformerait-il un comptable en vedette internationale ?

Corinne l'aventureuse (Marguerite Soleillant)

12,00 €
Extrait : Chapitre I : LA MAISON DES BRODEUSES Sous le feuillage d'un grand frêne, à l'écart du village, il y avait la maison des brodeuses. Elle était petite cette maison et basse sous son toit de tuiles brunes où des plaques de mousse posaient leur éclat d'or. A côté de la porte une large fenêtre brillait de tous ses carreaux, derrière un pot de géranium en fleurs. Dans le pignon, sur le rebord de l'autre fenêtre plus étroite, était posée une cage de chardonnerets. Les chardonnerets pépiaient dans leur prison ; le vent chantait aux branches du frêne. Le soleil marquait 5 heures au-dessus de la montagne. La porte s'ouvrit. Menue dans sa robe de bure bien froncée à la taille, un pli d'inquiétude au front, une vieille femme s'avança sur la marche du seuil. Elle abrita  ses yeux avec sa main pour fouiller du regard le chemin montant entre les murettes de pierre où couraient des lézards. « Je ne la vois pas revenir, dit-elle, rentrant dans la maison. — Il n'est pas encore tard, grand-mère, » répondit une fillette, assise devant un métier à broder, près de la fenêtre. « Il n'est pas tard, mais elle sait bien que nous avons du travail et qu'il faudrait t'aider, et que mes pauvres yeux ne voient plus pour enfiler des aiguilles. Ah! si je ne t'avais pas pour me consoler, Eléonore !… »
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