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Drôle de samedi soir (Claude Klotz) - Le livre de poche N° 216
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Drôle de samedi soir (Claude Klotz) - Le livre de poche N° 216

2,56 €
Drôle de Samedi soir suivi de Rue de la Chance et de Le mois de mai de Monsieur Dobichon Un quiproquo, une fortune inattendue, un étrange défi… un petit rien peut parfois bouleverser une soirée… ou une vie ! Comment Harp, 10 ans, amateur de télé et de poulet mayonnaise pourrait-il neutraliser quatre cambrioleurs seul et sans se fatiguer ? Qu'y a-t-il de commun entre un gangster en fin de carrière et une vieille dame mal aimée ? Comment un ascenseur à la vitre cassée transformerait-il un comptable en vedette internationale ?

XIII T2 : Là où va l'indien… (Jean Van Hamme, William Vance)

5,95 €
XIII se rend dans la famille de Steve Rowland dont il a les traits et les empreintes. Le père de Steve, gros propriétaire terrien, est assassiné par sa femme qui accuse XIII. Condamné, il est incarcéré à l'asile pénitentiaire de Plain Rock... Un solide gaillard aux allures de baroudeur se retrouve sans nom, sans passé, sans souvenir, dans un lieu inconnu. Son seul début d'indice pour découvrir son identité est un chiffre, XIII, qu'il porte en tatouage. Sa position est d'autant plus inconfortable qu'une bande de tueurs est à ses trousses. De plus, il découvre que de hautes personnalités civiles et militaires s'intéressent à lui. Ce récit d'espionnage a pour cadre un pays moderne non précisé, mais qui ressemble fort aux États-Unis. La longue traque se poursuit d'un album à l'autre et Jean Van Hamme distille peu à peu les informations sur le passé du héros, qui semble lié à l'histoire récente de son pays. Le trait réaliste et précis de William Vance apporte une crédibilité totale et campe un héros sympathique, attachant et énigmatique à la fois. XIII, la BD culte !

XIII T5 : Rouge total (Jean Van Hamme, William Vance)

8,00 €
Engagé dans de périlleuses aventures en Amérique Centrale, obsédé par la quête de son passé, XIII semble s'être accommodé de l'impunité de Wally Sheridan, le président assassin. Pas le général Ben Carrington. Il veut la vérité, il veut la justice… pour Kim, sa fille sacrifiée. Inexorablement, un cycle lancé par « Le Jour du Soleil noir » se termine. Le N°1 du complot a été identifié et puni. XIII sait qu'il est Jason Mac Lane, il a retrouvé son père biologique et sa chaotique biographie se complète lentement. Il reste des points obscurs, notamment sur les raisons de son engagement aux côtés de Cuba, mais il pourrait trouver la paix, s'il n'avait le goût de se fourrer dans des ennuis toujours renouvelés. C'est qu'au fond, sa quête d'identité s'est muée, pour lui aussi, en recherche de la vérité et de la justice. La victime sans mémoire est devenue un héros sans attache…

XIII T1 : Le jour du soleil noir (Jean Van Hamme, William Vance)

4,90 €
Un solide gaillard aux allures de baroudeur se retrouve sans nom, sans passé, sans souvenir, dans un lieu inconnu. Son seul début d'indice pour découvrir son identité est un chiffre, XIII, qu'il porte en tatouage. Sa position est d'autant plus inconfortable qu'une bande de tueurs est à ses trousses. De plus, il découvre que de hautes personnalités civiles et militaires s'intéressent à lui. Ce récit d'espionnage a pour cadre un pays moderne non précisé, mais qui ressemble fort aux Etats-Unis. La longue traque se poursuit d'un album à l'autre et Jean Van Hamme distille peu à peu les informations sur le passé du héros, qui semble lié à l'histoire récente de son pays. Le scénario, qui mêle aventure et fiction à l'histoire de ces vingt dernières années, est mis en image par William Vance. Son trait réaliste et précis apporte une crédibilité totale et campe un héros sympathique, attachant et énigmatique à la fois. Après un bref passage dans l'hebdomadaire SPIROU en 1984-85, les aventures de XIII paraissent directement en albums chez Dargaud à un rythme régulier d'un album par an. Cette série s'impose déjà en quelques années comme un best-seller et se positionne comme un classique.

N° 1689 - Une femme unique (Philippe Jean)

4,15 €
Extrait : La nuit était douce. Une brise très légère venait de la mer, juste assez fraîche pour chasser la chaleur accumulée par le sol et les pierres de la villa durant toute une journée ensoleillée sous le ciel sans nuages, de la Côte d'Azur. Marie-Elise et Geneviève avaient mis, sur leurs épaules nues, l'une un châle, l'autre une veste de flanelle. Seule Nora gardait sa tenue de plage. …

N° 1659 - Coeur de pierre (Philippe Jean)

3,74 €
Extrait : Dans tout le village de Brauvoy, on ne voyait que deux lumières en dehors de l'immense clarté qui venait de la place du Marché. C'étaient deux petits lumignons jaunes et tristes : l'un à la ferme des Furet, l'autre dans la maisonnette des Digard. Tous les autres foyers étaient obscurs, car la foule des villageois s'était répandue ce soir-là dans les rues, sur la route, dans les cabarets avoisinant la place où avait lieu le bal. La jeunesse s'en donnait à coeur joie au son d'un orchestre infatigable, tandis que les marmots contemplaient cette agitation avec extase, les doigts dans le nez, ou se poursuivaient à grands cris parmi les couples qu'ils bousculaient. Les jeunes mères étaient assises sous les arbres du mail vaguement éclairés par les derniers reflets des lampes du bal ; elles serraient contre elles leurs enfants endormis, mais elles n'auraient pas voulu être exclues de la fête où, l'année précédente, nombre d'entre elles, encore légères, avaient dansé…

N° 1712 - Prisonnière de son destin (Philippe Jean)

4,50 €
Extrait : — Atelier Didier Dyon ? répéta la concierge. Septième, face. — Merci, madame… Munie du renseignement, Régine attaqua l'escalier, puis sonna… au premier étage. C'était ainsi qu'elle s'y prenait pour forcer le barrage : quand on fait du « porte à porte », le plus dur est de s'introduire dans l'immeuble : aussi relevait-elle dans l'annuaire  le nom d'un locataire qui servait de Sésame ouvre-toi vis-à-vis de la concierge ; et une fois dans la place, elle visitait, un à un, tous les appartements de la maison. Le « truc » n'est pas infaillible. Ainsi, ce matin, depuis que, descendue au métro Montparnasse, elle avait entamé, par en haut, la rue de Rennes, cela n'avait pas encore réussi une seule fois : ou le locataire-clé avait déménagé, ou il était mort, ou il venait de sortir, ou il était en voyage… ou c'était le concierge qui, comme le signalait un écriteau, était « dans l'escalier », et risquait, par conséquent, d'éventer le subterfuge et de chasser, honteusement celle qui cherchait à enfreindre l'interdiction (affichée partout) « aux représentants » et démonstrateurs de pénétrer dans l'immeuble ». Donc, Régine avait essuyé toute une série d'échecs avant d'être, enfin, en mesure de prendre contact avec d'éventuels clients…
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