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Il y a 8 produits.

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  • Auteurs: Carole Buck
  • Auteurs: Claude Notac
  • Auteurs: Philippe Jean

N° 476 - Doug et Amy (Carole Buck)

2,95 €
Amy… Pour Doug, ce nom évoque un amour fait pour durer toujours. Hélas, tendre fiancée de l'enfance et de l'adolescence, puis épouse passionnée, Amy s'est pourtant éloignée, prise dans le tourbillon d'un métier exigeant qui a peu à peu brisé un lien précieux. Doug a laissé faire, s'est effacé… Mais aujourd'hui, il veut se battre. Comment, cependant, retrouver celle qui malgré le divorce n'a jamais cessé d'être « sa femme » ? Comment passer au doigt de Amy un nouvel anneau, symbole cette fois d'une indestructible union, pour que plus jamais il ne soit question de Amy sans Doug, de Doug sans Amy ?

N° 441 - Mais qui êtes-vous, Nick O'Neill ? (Carole Buck)

2,95 €
Catastrophe ! La mère de la sage et jolie Hayley veut absolument rencontrer « Michael Becker », le fiancé de sa fille. — Oui, mais voilà, Michael Becker n'existe pas, avoue la jeune femme, désemparée, à son très séduisant collègue Nick O'Neill. Qu'à cela ne tienne ! Nick propose de se couler dans le rôle du fiancé imaginaire. À ce jeu-là, cependant, le couple d'opérette ne risque-t-il pas d'être délicieusement pris à son propre piège tandis que les faux dîners en amoureux menacent de devenir de vraies nuits passionnées…

N° 1462 - Deux grands yeux bleus (Claude Notac)

3,05 €
Extrait : Les persiennes, l'une après l'autre, claquèrent sur le mur. Le soleil, encore timide, entra furtivement dans la chambre. Des rais de lumière zébrèrent le tapis de haute laine et firent étinceler les incrustations de cuivre des meubles d'acajou. Le grand lit était occupé par une femme d'une cinquantaine d'années, encore jolie sous la coiffure grise en désordre, mais que l'on devinait soignée. Ses yeux bleus donnaient à son visage un reflet excessivement jeune et si les cheveux avaient, par la magie des artifices, recouvré leur ancienne teinte blonde, il est probable que l'ont eût guère donné plus de quarante ans à Mme Doréal, propriétaire du luxueux hôtel particulier qu'elle habitait. La servante qui venait d'ouvrir les persiennes se pencha à la fenêtre : — Une belle journée en perspective, dit-elle. Madame désire-t-elle que je lui serve son petit-déjeuner au lit ? Mme Doréal bâilla, s'étira et répondit en rejetant d'un mouvement leste les couvertures : — Non, non, ma fille, je fais la paresseuse ce matin, mais je me lève immédiatement…

N° 1689 - Une femme unique (Philippe Jean)

4,15 €
Extrait : La nuit était douce. Une brise très légère venait de la mer, juste assez fraîche pour chasser la chaleur accumulée par le sol et les pierres de la villa durant toute une journée ensoleillée sous le ciel sans nuages, de la Côte d'Azur. Marie-Elise et Geneviève avaient mis, sur leurs épaules nues, l'une un châle, l'autre une veste de flanelle. Seule Nora gardait sa tenue de plage. …

N° 411 - Un paradis insoupçonné (Carole Buck)

2,56 €
Une semaine suspendue dans le temps, sur une île des Caraïbes… Une jeune femme merveilleuse, portant un nom étrange, Dawn… Constamment, il revoit ses longs cheveux mordorés où elle a glissé une orchidée, ses yeux profonds, leurs doigts entrelacés… Jamais il n'oubliera ces moments uniques, flamboyants, de ceux que l'on cherche toujours, inlassablement. Il sait qu'un jour, il la retrouvera, et apprendra les véritables circonstances de sa dispatition. Six ans et demi plus tard… Alexander Moran entre dans la salle de conférences où l'attend l'équipe de Carradine et Associés Et soudain, il se fige. Dawn… Dans ses rêveries sans fin, Alex croyait avoir envisagé toutes les variations possibles sur le thème de leurs retrouvailles. Mais c'est une partition inattendue qui semble près de se jouer…

N° 1659 - Coeur de pierre (Philippe Jean)

3,74 €
Extrait : Dans tout le village de Brauvoy, on ne voyait que deux lumières en dehors de l'immense clarté qui venait de la place du Marché. C'étaient deux petits lumignons jaunes et tristes : l'un à la ferme des Furet, l'autre dans la maisonnette des Digard. Tous les autres foyers étaient obscurs, car la foule des villageois s'était répandue ce soir-là dans les rues, sur la route, dans les cabarets avoisinant la place où avait lieu le bal. La jeunesse s'en donnait à coeur joie au son d'un orchestre infatigable, tandis que les marmots contemplaient cette agitation avec extase, les doigts dans le nez, ou se poursuivaient à grands cris parmi les couples qu'ils bousculaient. Les jeunes mères étaient assises sous les arbres du mail vaguement éclairés par les derniers reflets des lampes du bal ; elles serraient contre elles leurs enfants endormis, mais elles n'auraient pas voulu être exclues de la fête où, l'année précédente, nombre d'entre elles, encore légères, avaient dansé…

N° 1712 - Prisonnière de son destin (Philippe Jean)

4,50 €
Extrait : — Atelier Didier Dyon ? répéta la concierge. Septième, face. — Merci, madame… Munie du renseignement, Régine attaqua l'escalier, puis sonna… au premier étage. C'était ainsi qu'elle s'y prenait pour forcer le barrage : quand on fait du « porte à porte », le plus dur est de s'introduire dans l'immeuble : aussi relevait-elle dans l'annuaire  le nom d'un locataire qui servait de Sésame ouvre-toi vis-à-vis de la concierge ; et une fois dans la place, elle visitait, un à un, tous les appartements de la maison. Le « truc » n'est pas infaillible. Ainsi, ce matin, depuis que, descendue au métro Montparnasse, elle avait entamé, par en haut, la rue de Rennes, cela n'avait pas encore réussi une seule fois : ou le locataire-clé avait déménagé, ou il était mort, ou il venait de sortir, ou il était en voyage… ou c'était le concierge qui, comme le signalait un écriteau, était « dans l'escalier », et risquait, par conséquent, d'éventer le subterfuge et de chasser, honteusement celle qui cherchait à enfreindre l'interdiction (affichée partout) « aux représentants » et démonstrateurs de pénétrer dans l'immeuble ». Donc, Régine avait essuyé toute une série d'échecs avant d'être, enfin, en mesure de prendre contact avec d'éventuels clients…

N° 1475 - Tragique confidence (Claude Notac)

3,05 €
Extrait : Jacques Lefaucheur acheva de fumer sa cigarette et parlementa un instant avec le sergent-pilote tout près de l'avion qui devait prendre son vol. Il caressa la carlingue de sa longue main brune, ses prunelles bleues soudain attendries, comme s'il se fût agi du chien Dick, mascotte de leur escadrille. C'était un beau gars de vingt-sept ans, au mâle visage extrêmement sympathique, avec son air blagueur et son sourire joyeux. Spécialiste de la photographie aérienne, il montait aussi bien comme pilote que comme observateur. Né à Paris, lors d'un voyage en Europe effectué par ses parents, Canadiens de souche française, il avait, à vingt ans, opté pour la France et accompli son service militaire sur la terre de ses ancêtres. A la déclaration de guerre, il était de nouveau accouru se mettre au service de la mère patrie et aussitôt après le honteux armistice, se conduisant en digne fils des fiers pionniers qui étaient allés planter le drapeau tricolore, là-bas, au pays des neiges où bat toujours fidèle et ardent, le grand coeur de la France, il était passé en Angleterre où il s'était enrôlé dans l'armée de l'air…
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