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Les idoles du stade T2 : Le coup sûr (Jaci Burton)

2,90 €

Cette rouquine au caractère de feu est bien décidée à aller droit au but ! Carriériste dans l’âme, l’entraîneuse Liz Darnell ne recule devant rien pour réussir. Lorsque le sex-symbol Gavin Riley menace de quitter l’équipe de baseball, elle est prête à tout pour le retenir. Voilà longtemps que le joueur n’est pas insensible au charme de son coach. Quand il apprend que Liz est capable de donner de sa personne pour le garder, Gavin accepte de reconsidérer sa décision. Et si l’amour s’en mêlait ? Voilà une avancée décisive dans le match qui les oppose, dont, avec un peu de chance, ils sortiront vainqueurs tous les deux.

A l'ombre d'Esther (Claude Valérie)

2,54 €

Eliane Cordelier a le goût des voyages. Elle répond a l'annonce du riche John Middleton et se rend en Tasmanie. Dès leur première rencontre, c'est le coup de foudre. Cet amour naissant pourra-t-il s'épanouir dans une, atmosphère lourde de menaces ? Une jeune femme hante encore l'esprit de John. Eliane saura-t-elle échapper au sort qui s acharne contre elle ?…

Une affaire de coeur (Claude Valérie)

2,12 €

Lors d'un congrès médical à Bucarest, le docteur Yves Roux se voit proposer par un de ses confrères roumains un étrange marché : épouser sa fille Edicka, pour permettre à celle-ci de quitter le pays et de continuer à Paris ses études de médecine, en toute liberté. En échange, le jeune homme recevra une forte somme d'argent…

Le carnaval du mystère (Claude Valérie)

2,74 €

Une célèbre station de sports d'hiver en Suisse : c'est là qu'Elvire arrive pour passer des vacances de rêve. Sur la route, elle est témoin d'un terrible accident. Qui est cet homme à la beauté troublante ? Pourquoi les grands yeux verts du comte Axel von München reflète-t-il le désarroi ?…

Le bonheur par le devoir (Jacques Orbières) - Le Petit Livre Ferenczi N° 1145

N° 1145 - Le bonheur par le devoir (Jacques Orbières)

3,74 €

Extrait : — Alors, c'est dit, Paul, tu quittes tantôt ton agence d'où j'ai tant de mal à te sortir, et tu me consacres cette belle après-midi. Et coquette, gentille, Louise posait ses deux mains sur les épaules de son mari, certaine qu'il accepterait. Paul Berliet sourit à sa femme et fit enfin oui de la tête. Louise battit des mains. — Bravo !… La belle journée !… Nous irons ensemble faire un grand tour au Bois, comme deux amoureux. Vite, je m'habille. Paul quitta le fauteuil où il était assis et se promena un instant, le front barré par ses réflexions, tandis que sa femme, légère comme un oiseau, disparaissait du salon. Elle y revint un moment après, ayant fait rapidement sa toilette pour sortir. Elle était charmante, simple, pleine d'élégance et de goût. Paul la contempla un instant, puis ouvrit ses bras et la serra tendrement contre lui. — Ma chère, chère Louise ! murmura-t-il…

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