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Il y a 4 produits.

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  • Auteurs: Anne-Marie Desplat-Duc
  • Auteurs: Clayton Bess
  • Auteurs: Jean Glachant

Par une nuit noire (Clayton Bess) - Castor Poche N° 98

2,74 €
Par une nuit sans lune, au coeur de la brousse africaine plongée dans l'obscurité totale, une main inconnue rappelle, à grands coups redoublés, à la porte de la case isolée où vivent Momo, Ma sa mère, vieille Ma sa grand-mère et Meatta sa petite soeur. Deux femmes demandent l'hospitalité pour elles et leur bébé. Le lendemain, au réveil, les femmes ont disparu : seul reste le bébé étranger. Et la vérité éclate au grand jour : la petite a la variole ! Ma peut-elle pour autant l'abandonner ? Momo et sa famille survivront-ils à la terrible maladie qui s'abat sur eux ? Par une nuit noire , qui a pour cadre la brousse du Libéria, est un roman fondé sur des faits réels.

La malédiction du Malpas (Anne-Marie Desplat-Duc)

5,50 €
« Une classe péniche, ça doit être rudement excitant ! » pensent les élèves de madame Blot en s'embarquant sur le canal du Midi pour un voyage de découverte. Ils ne vont pas être déçus. Quel jeu joue donc le capitaine Dubos, intarissable raconteur d'histoires tirées d'un passé dont il se prétend le héros ? Que penser de son inquiétant perroquet ? Et qui est ce mystérieux passager clandestin surgi de nulle part ? Autant de questions auxquelles le turbulent Kevin, victime de l'effarante malédiction du Malpas, trouve les réponses à ses dépens. Pour les 9-12 ans.

La soie au bout des doigts (Anne-Marie Desplat-Duc) - Le livre de poche N° 686

2,15 €
Ardèche, 1848. La vie à la fabrique de soie est difficile pour les enfants. Armance, quatorze ans, est une bonne ouvrière, mais elle rêve de quitter l'usine et d'apprendre à lire et à écrire. Son père s'y oppose. D'ailleurs, il s'oppose à tout et ne cesse de la gronder. Qu'a-t-il donc à lui reprocher qu'elle ignore ?

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…
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