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Il y a 3 produits.

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  • Auteurs: Clayton Bess
  • Auteurs: Jean Glachant
  • Auteurs: Joël Audrenn

Par une nuit noire (Clayton Bess) - Castor Poche N° 98

2,74 €
Par une nuit sans lune, au coeur de la brousse africaine plongée dans l'obscurité totale, une main inconnue rappelle, à grands coups redoublés, à la porte de la case isolée où vivent Momo, Ma sa mère, vieille Ma sa grand-mère et Meatta sa petite soeur. Deux femmes demandent l'hospitalité pour elles et leur bébé. Le lendemain, au réveil, les femmes ont disparu : seul reste le bébé étranger. Et la vérité éclate au grand jour : la petite a la variole ! Ma peut-elle pour autant l'abandonner ? Momo et sa famille survivront-ils à la terrible maladie qui s'abat sur eux ? Par une nuit noire , qui a pour cadre la brousse du Libéria, est un roman fondé sur des faits réels.

La sadane de minuit (Joël Audrenn) - Collection 4 couleurs N° 63

2,54 €
Qu'est-ce qui fait donc courir tant de gens derrière Claudie, la petite hôtesse d'accueil de l'Egico, dès qu'elle part en vacances et quitte Paris ? Que Sandro cherche à la rejoindre — Sandro, le jeune dessinateur de l'Egico qui l'adore en secret — on le comprend. Que Fred, un collègue et le play-boy de l'Egico, soit dépêché par le patron pour rattraper Claudie et la conduire chez sa femme dans leur propriété du Roussillon, c'est surprenant. Qu'un troisième larron — un inconnu — mette ses pas dans ceux des jeunes gens, voilà qui devient inquiétant. Lorsque s'engage une extravagante poursuite, Claudie croit rêver. Les événements se précipitent à une telle allure ! ... Un somptueux domaine. Des invités qui s'amusent. D'autres qui se mentent. Un grand amour qui s'affirme dans l'ombre. Et puis une menace qui se précise pour Claudie. Elle a peur... Au rendez-vous de la sardane que l'on danse à minuit, sur la place du village, d'imprévisibles partenaires l'attendent.

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…
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