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  • Auteurs: Clayton Bess
  • Auteurs: Léopold Remon
  • Auteurs: Marie Nicole

Par une nuit noire (Clayton Bess) - Castor Poche N° 98

2,74 €
Par une nuit sans lune, au coeur de la brousse africaine plongée dans l'obscurité totale, une main inconnue rappelle, à grands coups redoublés, à la porte de la case isolée où vivent Momo, Ma sa mère, vieille Ma sa grand-mère et Meatta sa petite soeur. Deux femmes demandent l'hospitalité pour elles et leur bébé. Le lendemain, au réveil, les femmes ont disparu : seul reste le bébé étranger. Et la vérité éclate au grand jour : la petite a la variole ! Ma peut-elle pour autant l'abandonner ? Momo et sa famille survivront-ils à la terrible maladie qui s'abat sur eux ? Par une nuit noire , qui a pour cadre la brousse du Libéria, est un roman fondé sur des faits réels.

N° 475 - Samantha et le magicien (Marie Nicole)

2,95 €
Il était une fois une jeune femme pleine de talent mais totalement inconnue qu'avait découverte un célèbre et séduisant manager. Il voulait faire d'elle une star. Samantha Madison récitait mécaniquement sur scène l'histoire de sa propre vie. Tout avait commencé comme dans un conte de fées, grâce à l'imprésario Jake Benedict. Tel un magicien, il avait transformé en étoile la jeune femme anonyme qu'elle était. Mais voilà que le rêve tournait au cauchemar… Sous le fard et le strass, Samantha aujourd'hui étouffait. Comment, surtout, se demandait-elle, parviendrait-elle à faire de son beau magicien un homme, seulement un homme, qui plutôt qu'une idole à adorer verrait en elle une femme à aimer.

N° 409 - Clémentine chérie (Marie Nicole)

2,56 €
— Il faut coopérer, dit Clémentine. Je ne pourrai pas être votre imprésario, si vous ne vous prêtez pas au jeu… — Rassurez-vous, je suis très coopératif, déclara David. Se tournant vers elle, il découvrit alors les plus beaux yeux qu'il eût jamais vus — des yeux gris pailletés de vert et d'or, étincelants et mystérieux comme ceux d'un chat. Tout à l'heure, quand il avait accepté de la prendre à l'essai, il s'était bien gardé de l'observer de trop près. Peut-être parce que, avec son étrange combativité, elle semblait venir à bout de toutes les résistances qu'il tentait de lui opposer. Mais maintenant qu'elle réclamait sa coopération, David pressentait que le jeu allait l'entraîner un peu plus loin qu'il ne l'avait imaginé…

N° 1696 - Sa vraie maman ! (Léopold Remon)

2,92 €
Extrait : C'était une pauvre demeure que celle où la vieille Marie Méry se mourait. Une grande pièce au sol dallé, une alcôve et un petit réduit où l'on gardait quelques provisions, composaient le modeste intérieur. Des bouquets d'oignons suspendus décoraient les poutres. La vaste cheminée, quelques misérables meubles ornaient la pièce principale qui s'ouvrait de plain-pied sur le jardinet. Parfois, deux ou trois poules effrontées s'aventuraient jusqu'à la paillasse où dormait Pierrette. C'était toute la basse-cour de Marie Méry qui nourrissait ces volatiles de quelques miettes, et leur laissait le soin de dénicher dans les champs d'alentour le plus clair de leur subsistance. Pauvre, Marie Méry l'était, mais à la façon indifférente des vieilles paysannes qui savent côtoyer la misère sans tomber dans le sordide. Elle ne possédait aucun bien, n'avait ni bétail, ni terre. Et la maison ne lui appartenait qu'en vertu de son abandon dont elle avait su profiter depuis si longtemps…

N° 1714 - Personne au monde... (Léopold Rémon)

3,74 €
Extrait : Quand Charles Bocham pénétra dans son bureau, le scribe indigène était déjà au travail. Le jeune homme bourra sa pipe, déplaça quelques dossiers, prit un roman policier. C'était vraiment un emploi de tout repos. L'employé maori se chargeait des paperasses et s'en tirait fort bien tout seul. Pourtant, le règlement prévoyait que le titulaire du poste devait être licencié en droit. Voilà pourquoi, depuis trois ans, Charles Bocham avait quitté la France. Trois ans ! Il avait débarqué à Tahiti comme Alice au pays des merveilles. C'était presque trop beau, trop colorié. L'air était trop doux, les parfums trop sucrés, la mer et le ciel trop bleus. Mais avec le temps, les couleurs s'étaient ternies, les parfums fanés. Aujourd'hui, Charles Bocham crevait d'ennui. Même la prochaine venue de sa fiancée ne parvenait pas à le tirer de sa lassitude. Le bateau, actuellement, devait franchir le canal de Panama. Il lui faudrait dix-huit jours avant de pénétrer dans la rade de Papeete. Ce délai parût soudain formidablement long à Charles Bocham, plus long que les trois années pendant lesquelles il avait attendu, tout d'abord, sa titularisation, constitué ensuite un petit pécule pour monter son ménage. A présent que le but était en vue, il se rendait compte qu'il n'en pouvait plus, que sa chair et son âme se refusaient à prolonger l'épreuve…
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