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Il y a 4 produits.

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  • Auteurs: Cliff McNish
  • Auteurs: Léopold Remon
  • Auteurs: Paul Vincent

N° 3007 - Et soudain, l'avalanche… (Paul Vincent) - Le commissaire-priseur (John McGregor)

4,50 €
Encarts BS Lecture 3007 à détacher Et soudain, l'avalanche… d'après le roman de Paul Vincent Sylvie a-t-elle le droit de laisser Jean-Pierre, le fils d'un promoteur parisien, transformer en station de ski La Ramaz, son village perdu au coeur des Alpes, et qui n'offre pour toute ressource qu'un petit artisanat ? Dès son arrivée de Paris, Jean-Pierre n'a d'yeux que pour Sylvie, et celle-ci ne lui est pas insensible. Mais Francis, son ami d'enfance, éprouve une haine sourde envers celui qui veut lui prendre à la fois son village et la fille qu'il aime. A mesure que Jean-Pierre convaincu de son projet les habitants du village, Francis mûrit sa vengeance. Dans le silence de la neige, amour et intérêt s'affrontent à visage nu. Témoin de cette lutte, la montagne apportera-t-elle une solution au dilemme de Sylvie ? Le commissaire-priseur d'après le roman policier de John McGregor.

Le maléfice T1 (Cliff McNish)

2,25 €
Le premier volume d'une trilogie pleine de magie, de mystère et de frissons. Dans un embrasement de lumière et une violente bourrasque, de redoutables griffes agrippent Rachel et son frère et les précipitent dans un autre monde : le royaume sombre et glacé d'Ithrea. Comme des milliers d'enfants avant eux, ils ont été enlevés par la Sorcière... Mais, cette fois, il semble qu'elle ait trouvé en Rachel un adversaire à sa mesure. Quel maléfice pourrait-elle lui jeter pour sortir victorieuse d'un combat où s'affrontent les forces du Bien et celles du Mal ? A partir de 11 ans.

N° 1696 - Sa vraie maman ! (Léopold Remon)

2,92 €
Extrait : C'était une pauvre demeure que celle où la vieille Marie Méry se mourait. Une grande pièce au sol dallé, une alcôve et un petit réduit où l'on gardait quelques provisions, composaient le modeste intérieur. Des bouquets d'oignons suspendus décoraient les poutres. La vaste cheminée, quelques misérables meubles ornaient la pièce principale qui s'ouvrait de plain-pied sur le jardinet. Parfois, deux ou trois poules effrontées s'aventuraient jusqu'à la paillasse où dormait Pierrette. C'était toute la basse-cour de Marie Méry qui nourrissait ces volatiles de quelques miettes, et leur laissait le soin de dénicher dans les champs d'alentour le plus clair de leur subsistance. Pauvre, Marie Méry l'était, mais à la façon indifférente des vieilles paysannes qui savent côtoyer la misère sans tomber dans le sordide. Elle ne possédait aucun bien, n'avait ni bétail, ni terre. Et la maison ne lui appartenait qu'en vertu de son abandon dont elle avait su profiter depuis si longtemps…

N° 1714 - Personne au monde... (Léopold Rémon)

3,74 €
Extrait : Quand Charles Bocham pénétra dans son bureau, le scribe indigène était déjà au travail. Le jeune homme bourra sa pipe, déplaça quelques dossiers, prit un roman policier. C'était vraiment un emploi de tout repos. L'employé maori se chargeait des paperasses et s'en tirait fort bien tout seul. Pourtant, le règlement prévoyait que le titulaire du poste devait être licencié en droit. Voilà pourquoi, depuis trois ans, Charles Bocham avait quitté la France. Trois ans ! Il avait débarqué à Tahiti comme Alice au pays des merveilles. C'était presque trop beau, trop colorié. L'air était trop doux, les parfums trop sucrés, la mer et le ciel trop bleus. Mais avec le temps, les couleurs s'étaient ternies, les parfums fanés. Aujourd'hui, Charles Bocham crevait d'ennui. Même la prochaine venue de sa fiancée ne parvenait pas à le tirer de sa lassitude. Le bateau, actuellement, devait franchir le canal de Panama. Il lui faudrait dix-huit jours avant de pénétrer dans la rade de Papeete. Ce délai parût soudain formidablement long à Charles Bocham, plus long que les trois années pendant lesquelles il avait attendu, tout d'abord, sa titularisation, constitué ensuite un petit pécule pour monter son ménage. A présent que le but était en vue, il se rendait compte qu'il n'en pouvait plus, que sa chair et son âme se refusaient à prolonger l'épreuve…
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