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  • Auteurs: André Besson
  • Auteurs: Colette
  • Auteurs: Félix Léonnec

La paix chez les Bêtes (Colette)

7,05 €
« Je ne suis pas une princesse enchaînée », dit Lola, la levrette blanche. « Je suis le diable ! » dit Poum, le chat noir. Et ainsi, au cours des diverses nouvelles de cet ouvrage si justement célèbre, Colette, parlant au nom de ceux qu'elle décrit, nous révèle une image inattendue et vraie de chacun, qu'il soit chien ou chat, vous ou tigre, serpent ou insecte. Mais, ce charme tant vanté, cette magie unique du style de Colette, qu'est-ce ? sinon tout simplement ce regard aimant, lucide et profond qu'elle savait si bien poser sur les animaux. Chez tous, même chez la petite chienne de salon, elle découvre une âme fière et sauvage. Pour tous, même pour la hyène du jardin zoologique, elle éprouve le besoin d'une caresse… La paix chez les Bêtes… qui, mieux que Colette, pouvait nous la faire connaître ?

N° 3361 - Le manoir endormi (Régine Andry) - La neige était rouge (André Besson)

4,50 €
Encarts Lecture BS 3361 à détacher Le manoir endormi , une nouvelle inédite de Régine Andry Dominique Leverrier revient au manoir de « L'Ormeval » où elle a passé son enfance et qu'elle a dû quitter tragiquement après la ruine de ses parents. Aujourd'hui, elle est veuve et riche et a pu racheter ce domaine. Quelle éclatante revanche pour elle ! Elle se retrouve bientôt un camarade de jeunesse, Stéphane qui habite toujours le château voisin. Il est très séduisant et ne l'a jamais oublié. Mais peu à peu Dominique comprend qu'un épais mystère entoure le passé de Stéphane. Un mystère auquel ses propres parents ont été mêlés. Connaîtra-t-elle enfin la vérité ?  La neige était rouge d'après le roman policier d'André Besson

N° 1150 - Pauvre petite femme (Félix Léonnec)

2,92 €
Extrait : — Allons, mon bon Benoît, il faut nous séparer ; depuis hier soir, déjà, vous n'êtes plus à mon service mais à ceux du duc de Veristein ; ce tour que nous venons de faire ensemble était le dernier fait par moi sur ce domaine depuis si longtemps à mes ancêtres. J'aime mieux le voir vendu à un grand seigneur que de le voir péricliter faute d'argent pour le faire valoir. — Est-il possible, monsieur le comte, que des choses pareilles puissent arriver. J'ai été au service de Monsieur votre père et à ce moment on disait couramment que les comtes de Villerbois étaient quasiment aussi riches que des rois. — Que des rois pauvres, mon brave Benoît, certainement nous avions de quoi faire valoir tout le pays, mais les temps ont changé, la vie a des exigences qui n'existaient pas autrefois…
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