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  • Auteurs: Colette
  • Auteurs: René-Paul Noël

La paix chez les Bêtes (Colette)

7,05 €
« Je ne suis pas une princesse enchaînée », dit Lola, la levrette blanche. « Je suis le diable ! » dit Poum, le chat noir. Et ainsi, au cours des diverses nouvelles de cet ouvrage si justement célèbre, Colette, parlant au nom de ceux qu'elle décrit, nous révèle une image inattendue et vraie de chacun, qu'il soit chien ou chat, vous ou tigre, serpent ou insecte. Mais, ce charme tant vanté, cette magie unique du style de Colette, qu'est-ce ? sinon tout simplement ce regard aimant, lucide et profond qu'elle savait si bien poser sur les animaux. Chez tous, même chez la petite chienne de salon, elle découvre une âme fière et sauvage. Pour tous, même pour la hyène du jardin zoologique, elle éprouve le besoin d'une caresse… La paix chez les Bêtes… qui, mieux que Colette, pouvait nous la faire connaître ?

N° 1644 - On peut rêver d'amour (René-Paul Noël)

4,92 €
Extrait : Quelqu'un dit : — C'est scandaleux !  Mais on ne l'écoutait pas. Sur le quai de la gare, un employé s'avançait et la foule des voyageurs bloqués à Saint-Sulpice se porta à sa rencontre dans un mouvement impétueux. Le cheminot ouvrit les bras d'un air désappointé : — Je vous en prie… On vient de me téléphoner : les dépôts sont en grève, aucune machine ne peut sortir. …

N° 1654 - Rendez-moi mon enfant (René-Paul Noël)

6,00 €
Extrait : Myrtille Lacaule s'était adossé à la cheminée et, le visage crispé, elle suivait le manège de Deschamps présentant Simone à ses amis. Mais quoi que fasse Myrtille, son regard revenait se poser sur sa rivale ! Ainsi c'était là la jeune fille qui lui avait ravi l'amour de Pierre. Avec la sévérité d'une femme jalouse, elle la jugeait insignifiante et fade…

N° 1715 - Fille du Canada (René-Paul Noël)

4,50 €
Extrait : Les chevaux étaient rassemblés dans un vaste enclos de perches, près d'un village dont on apercevait les fumées par-dessus le petit rideau de trembles. La journée était précieuse comme une opale. Des paysans endimanchés, Canadiens français ou Irlandais, se pressaient sur la place du marché. Des gosses criaient, des chiens aboyaient et le crincrin d'un violon rythmant une clogg-dance mettait sur le tout une joyeuse atmosphère de Kermesse. Jean Leclerc avait pris le bras de Pierre Daix, son vieux copain retrouvé. La bière et le Whisky aidant, les jeunes gens, entre deux éclats de rire, cédaient à l'attendrissement et évoquaient leur jeunesse — pas si lointaine ! — avec des : « Te souviens-tu… » qui introduisaient, dans leur conversation, un peu de la mélancolie des choses fanées. La foule s'ouvrait sur leur passage. Ce qui attirait surtout l'attention sur le couple, c'était le vêtement de Jean Leclerc, anachronique comme un gibus à la vitrine d'un chapelier. Les gosses, bouche bée, lui faisaient une escorte discrète, les jeunes  filles le regardaient avec une inlassable curiosité…
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