Accueil

Accueil

Il y a 5 produits.

Affichage 1-5 de 5 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Ariette Prêle
  • Auteurs: Cyril Dent-Yong
  • Auteurs: Elizabeth de Guise

L'otage du roi de coeur (Elizabeth de Guise)

4,05 €
Constance a eu une enfance malheureuse, lugubre, dans le château de Brede. A la mort de son père, puritain austère qui la détestait, elle se retrouve orpheline et menacée d'être expulsée de chez elle. Le domaine est maintenant la propriété du comte de Brede, fervent partisan du roi Charles II. Amusé par son impertinence, Henry de Brede l'épouse et l'emmène à la cour. Constance est éblouie par son séduisant mari et en tombe vite follement amoureuse. Hélas, il n'en va pas de même pour le comte… La jeune femme parviendra-t-elle à trouver le bonheur ?

N° 3487 - Dame de Pique et Reine de Coeur (Cyril Dent-Yong)

3,75 €
Dame de Pique et Reine de Coeur Un roman inédit de Cyril Dent-Yong Lorsqu'un beau matin de juillet, Dimitri Ivanov débarque à « La Déchaussée », la superbe maison des Lombard, il n'est pas mécontent : accepter ce poste de répétiteur était l'occasion à ne pas manquer, même si le petit Manoël est incapable d'apprendre trois mots de Russe… Car il y a Chris Lombard, l'éclatante épouse du terne Adrien. Elle est jeune encore et si mal mariée. On dirait qu'elle s'amuse à tourner la tête de Dimitri. Au cours de son séjour à « La Déchaussée », Dimitri finira-t-il par comprendre ce que cherche Chris… Ou ce qu'elle cache ? Et Charlotte, sa fille aînée, à quel jeu joue-t-elle ? On dirait qu'elle déteste sa mère, quelquefois… Est-ce pour les fuir qu'Adrien Lombard va de plus en plus souvent se réfugier sur son île ? « Quelquefois, on croit tirer la reine de coeur et c'est la dame de pique que l'on sort du jeu… » C'est en accompagnant Adrien Lombard sur l'île que Dimitri comprendra ce que voulait dire celui-ci… Mais parfois, en se penchant sur la vie des autres, c'est son propre reflet que l'on aperçoit… Et cela ne sert à rien de fuir.

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait  : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1884 - A la lumière de cet été (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : A l'heure de la sieste, la maisonnée tout entière plongeait dans le silence. Chacun était libre de dormir où il voulait : dans l'ombre de la sapinette sur les aiguilles de pins qui revêtaient la mousse d'une natte sèche et luisante, dans le fenil obscur plein de l'entêtante odeur des herbes rêches, dans l'ancienne magnanerie si l'on ne craignait pas les mouches ou dans la « chambre verte » que Sheila préférait à tout le reste. Mais elle arrivait rarement à s'annexer ce lieu de délices situé dans une aile inhabitée de la demeure, baignée de lumière glauque et de fraîcheur particulièrement favorables au sommeil : Delia et sa mère l'occupaient à tour de rôle, sauf cet après-midi là, puisque depuis le matin elles étaient parties faire des courses en ville. Sadi — le mari de Délia — Chris, le frère de Sheila et de Délia, Chad Maddelin enfin, le chef de la famille, allaient choir sur des couches improvisées aux alentours de la maison : sapinette, fenil, voire même bûcher ou buanderie quand il faisait très chaud comme aujourd'hui…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire