Accueil

Accueil

Il y a 5 produits.

Affichage 1-5 de 5 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Ariette Prêle
  • Auteurs: Dallas Schulze
  • Auteurs: Elizabeth August

N° 213 - Un Noël californien (Dallas Schulze)

2,92 €
Mariés à Noël, ils avaient divorcé à la Toussaint… C'est ainsi que Tess résumait son bref mariage chaque fois que le sujet était abordé. Cette formule concise avait le mérite de faire taire les curieux. Cinq ans s'étaient écoulés depuis son divorce avec Nick ; cinq ans au terme desquels la jeune femme avait fini par se convaincre que les quelques mois de vie commune avec Nick avaient été relégués dans un passé lointain, disparu à jamais. Pourtant, il ne fallut qu'un instant — l'espace d'une rencontre fortuite avec Nick — et ces quelques mots murmurés : « Tu m'as manqué », pour que tout soit remis en cause…

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait  : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1396 - Les noces de Celina (Elizabeth August)

2,15 €
Parce qu'il existe mille et une façons de dire « oui ». Originaire de New York, le jeune Dr Prescott vient s'installer à Smytheshire, petite ville du Massachusetts, pour remplacer un confrère sur le point de prendre sa retraite. Tout de suite séduit par cette charmante bourgade, il est enchanté par sa nouvelle existence. Jusqu'au jour où, afin de rassurer son employeur, un notable qui semble mettre en doute sa stabilité, il se voit contraint de se marier. Il se résout alors à épouser Celina qui, de son côté, désire avec un enfant sans renoncer à son indépendance. Bien sûr, rien n'empêche les deux jeunes gens de continuer à vivre ensemble après avoir rempli leur contrat. A condition, toutefois, que l'autre accepte de s'engager... Mais peut-on avouer ses sentiments sans se ridiculiser, quand on a juré de ne jamais se laisser prendre au piège de l'amour ?

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1884 - A la lumière de cet été (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : A l'heure de la sieste, la maisonnée tout entière plongeait dans le silence. Chacun était libre de dormir où il voulait : dans l'ombre de la sapinette sur les aiguilles de pins qui revêtaient la mousse d'une natte sèche et luisante, dans le fenil obscur plein de l'entêtante odeur des herbes rêches, dans l'ancienne magnanerie si l'on ne craignait pas les mouches ou dans la « chambre verte » que Sheila préférait à tout le reste. Mais elle arrivait rarement à s'annexer ce lieu de délices situé dans une aile inhabitée de la demeure, baignée de lumière glauque et de fraîcheur particulièrement favorables au sommeil : Delia et sa mère l'occupaient à tour de rôle, sauf cet après-midi là, puisque depuis le matin elles étaient parties faire des courses en ville. Sadi — le mari de Délia — Chris, le frère de Sheila et de Délia, Chad Maddelin enfin, le chef de la famille, allaient choir sur des couches improvisées aux alentours de la maison : sapinette, fenil, voire même bûcher ou buanderie quand il faisait très chaud comme aujourd'hui…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire