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  • Auteurs: Daniel Defoe
  • Auteurs: Lise Mélinand
  • Auteurs: René Guillot
Tam-Tam de Kotokro (René Guillot) - Bibliothèque Rouge et Or

Tam-Tam de Kotokro (René Guillot)

6,50 €
« Tam-Tam de Kotokro » aurait pu s'appeler « Le Grand Livre de la Brousse ». René Guillot, fidèle romancier de l'Afrique Noire où il a vécu de longues années, situe l'aventure dans ce mystérieux Soudan qu'il connaît à fond. Il nous fait vivre une histoire passionnante, émouvante et parfaitement morale…
L'étranger du port (René Guillot) - Bibliothèque verte N° 188 - Hachette

N° 188 - L'étranger du port (René Guillot)

2,15 €
Qui est cet étranger qui, après avoir fait le tour du monde, vient s'installer dans ce petit port italien ? Quel est son secret ? Que semble-t-il attendre ? Même Mario, son seul ami, n'en saura rien. Mario a quatorze ans. Les difficultés de la vie, la nécessité de travailler dès son plus jeune âge l'ont mûri. Pourtant, de l'enfance, il a gardé le goût du merveilleux et la foi en l'avenir. II a eu raison. Grâce à son ami l'étranger, un miracle s'accomplira. Mario pourra réaliser son rêve le plus insensé. Et si, plus tard, le réveil est brutal, qu'importe puisque Mario saura découvrir la chaleur de l'amitié vraie qui, avec l'expérience, aide à supporter les douleurs et les sacrifices.
Robinson Crusoé - 2e partie (Daniel de Foe) - Les livres roses pour la jeunesse N° 614

N° 614 - Robinson Crusoé - 2e partie (Daniel de Foe)

4,90 €
Extrait : J'étais maintenant dans la vingt-troisième année de ma résidence en cette île, et si accoutumé à y vivre que, sans ma continuelle crainte des sauvages, j'aurais été content d'y passer le reste de mes jours et, à la fin, de me coucher pour mourir, comme le vieux bouc dans la grotte. Mon perroquet vivait encore — je l'eus avec moi pendant vingt-six ans — et nous tenions ensemble de longues conversations familières, auxquelles je trouvais un grand charme. Mon chien aussi avait été pour moi un compagnon fidèle et cher pendant seize ans, au bout desquels il mourut de vieillesse. Pour mes chats, ils s'étaient tellement multipliés et étaient devenus si incommodes que, de peur qu'ils ne me dévorassent, j'avais été obligé d'en tuer plusieurs à coups de fusil ; les autres s'enfuirent dans les bois, où ils retournèrent à l'état sauvage, à l'exception de deux ou trois que je gardai près de moi…
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