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  • Auteurs: Daniel Defoe
  • Auteurs: Philippe Dumas
  • Auteurs: Rebecca Brandewyne

N° 56 - Un amour défendu (Rebecca Brandewyne)

3,50 €
Lorsqu’il revient dans la ville de son enfance, Renzo Cassavettes n’est plus le petit Italien pauvre et rejeté de tous qu’il était autrefois. Journaliste réputé, il n’a plus rien à prouver à personne… sauf peut-être à ceux qui, douze ans plus tôt, l’ont accusé du meurtre de l’un de ses camarades et contraint à fuir loin des siens. Sauf aussi à la belle Sarah Kincaid, avec qui il a vécu un amour interdit à l’époque, et dont il est resté sans nouvelles depuis…  Mais son arrivée provoque bien des remous au sein de la petite communauté, où certains n’apprécient guère de voir revenir celui qui n’est à leurs yeux qu’un assassin. Comme pour leur donner raison, deux crimes sont commis, auxquels tout semble le lier. Et tandis que le piège se referme sur lui, Renzo découvre qu’il ne peut compter sur Sarah – Sarah qui ne l’a pas oublié elle non plus, et qui durant toutes ces années lui a caché un bouleversant secret…

La petite géante (Philippe Dumas)

3,57 €
La nuit, quand les enfants dorment, les poupées vivent leur vie. A dos de chien, les voilà, parcourant les champs, et même rendant visite aux lapins. Pour les enfants de 5 à 7 ans.

N° 614 - Robinson Crusoé - 2e partie (Daniel de Foe)

4,90 €
Extrait : J'étais maintenant dans la vingt-troisième année de ma résidence en cette île, et si accoutumé à y vivre que, sans ma continuelle crainte des sauvages, j'aurais été content d'y passer le reste de mes jours et, à la fin, de me coucher pour mourir, comme le vieux bouc dans la grotte. Mon perroquet vivait encore — je l'eus avec moi pendant vingt-six ans — et nous tenions ensemble de longues conversations familières, auxquelles je trouvais un grand charme. Mon chien aussi avait été pour moi un compagnon fidèle et cher pendant seize ans, au bout desquels il mourut de vieillesse. Pour mes chats, ils s'étaient tellement multipliés et étaient devenus si incommodes que, de peur qu'ils ne me dévorassent, j'avais été obligé d'en tuer plusieurs à coups de fusil ; les autres s'enfuirent dans les bois, où ils retournèrent à l'état sauvage, à l'exception de deux ou trois que je gardai près de moi…
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