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  • Auteurs: Daniel Gray
  • Auteurs: Ingrid Godon
  • Auteurs: Paul Hervieu

Anna Maria Sofia et Petit Max (Edward van de Vendel, Ingrid Godon)

4,24 €
Chaque jour, Petit Max part en promenade avec Anna Maria Sofia. Ils ont leur itinéraire. Max est petit, mais c'est lui qui veille sur la vieille dame. Il connaît des tas de choses sur sa vie, même celles qu'elle a oubliées. Et il y en a beaucoup. A partir de 5 ans.

N° 3015 - La baie du silence d'après le roman de Daniel Gray

3,75 €
Extrait : C'était un matin semblable aux autres. La lumière n'avait pas plus de pureté et d'éclat sur les îles de l'atoll, et le Pacifique n'était pas plus bleu. Laurence Ardies ôta la fleur de ses cheveux et la tourna entre ses doigts en écoutant les bruits familiers : le murmure sans force de la mer prisonnière du lagon, le salut des sentinelles japonaises, un frémissement d'ailes…

N° 3089 - Périls de l'Ombre d'après le roman de Daniel Gray

3,75 €
Extrait : Le « Flying Cloud » avait franchi la Golden Gate et, sous le soleil d'automne, s'avançait vers le port de San Francisco. C'était le 18 septembre 1859. Seule et à l'écart des autres autant que le lui permettait l'encombrement du pont, Constance Marsh regardait la ville. Elle pensa que l'épreuve de cet épuisant voyage était finie et, n'en conçut aucune joie. Elle était de retour…

L'Alpe Homicide (Paul Hervieu)

12,00 €
L'Alpe Homicide (Paul Hervieu) Extrait Chapitre I : Quand j'arrivai à Chamonix, la nuit avait depuis longtemps noirci la vallée. Quelques lumières, en ville, indiquaient le seuil des pensions, le pont sur l'Arve et les quatre coins de la place qu'encombrait la compagnie des guides en quête de clients. Ma monture se fraya un passage au milieu de ces groupes patients et taciturnes ; et je l'arrêtai à la porte de l'hôtel de l' Ours . J'étais harassé par quinze heures de chevauchée à travers les montagnes de la Savoie ; et le froid, que les approches de l'automne faisaient descendre sur la pente des glaciers plus intense et plus humide, étreignait mes épaules et raidissait désagréablement mes genoux. J'avalai un bol de punch et je me couchai sans souper. Il est très difficile de s'endormir, dans un hôtel, avant que tout le monde soit au lit. Jusque-là le parquet sonore des couloirs est battu de pas lourds ; les gens de service s'interpellent et remuent des choses retentissantes. Des portes ouvertes crient en se fermant ; d'autres crient dès qu'on les ouvre, et leurs entrebâillements livrent passage aux récoltes pesantes de chaussures que les divers genres de promiscuité ont produites dans chaque chambre. Peu à peu ce tumulte s'apaisa ; mais l'énervement de fatigue où j'étais me tenait éveillé. Et à mesure que les bruits environnants diminuaient de force, mon oreille devenait impressionnable à des sons plus délicats…
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