Accueil

Accueil

Il y a 6 produits.

Affichage 1-6 de 6 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Ariette Prêle
  • Auteurs: Danielle Martinigol
  • Auteurs: Lorenz Froelich

L'or bleu (Danielle Martinigol) - Le livre de poche N° 279

2,74 €
Vivant au large de Saturne et Uranus, Bruce vient, pour la première fois, en vacances sur Terre. Lancé dans une folle course-poursuite jusqu'à Capri avec Bérénice, jeune et superbe actrice, Bruce découvrira-t-il la vérité cachée par ceux qui détiennent le bien suprême : l'eau ? À partir de 11 ans.

L'or bleu (Danielle Martinigol) - Le livre de poche N° 279

2,92 €
Bruce, ayant toujours vécu au large d'Uranus et Saturne, vient pour la première fois en vacances sur Terre. Ce qu'il y découvre ne cesse de le surprendre : Atlanpolis, capitale de l'ancienne Méditerranées asséchée, Paris, où le lit de la Seine est garni de gradins de bois, les Vidéo-Jeux et leurs gains fabuleux… Lancé malgré lui dans une folle course-poursuite qui le conduira jusqu'à Capri en compagnie de Bérénice, jeune et superbe actrice, Bruce découvrira-t-il la vérité cachée par ceux qui détiennent le bien suprême : l'eau ? Plus de 12 ans.

copy of Monsieur Toc-Toc (P.-J. Stahl, Lorentz Froelich, Matthis)

7,64 €
Edité vers 1860, Monsieur Toc-Toc nous narre avec humour, second degré et un luxe de détails les états d'âme d'un jeune garçon en pleine querelle avec son chat, et qui cherche l'appui de son père. Un petit souci familial qui trouvera sa résolution dans la dégustation d'un sucre d'orge. Le tout est illustré de vignettes issues de gravures, petits tableaux vivants, précis et charmants. De 4 à 7 ans.

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait  : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1884 - A la lumière de cet été (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : A l'heure de la sieste, la maisonnée tout entière plongeait dans le silence. Chacun était libre de dormir où il voulait : dans l'ombre de la sapinette sur les aiguilles de pins qui revêtaient la mousse d'une natte sèche et luisante, dans le fenil obscur plein de l'entêtante odeur des herbes rêches, dans l'ancienne magnanerie si l'on ne craignait pas les mouches ou dans la « chambre verte » que Sheila préférait à tout le reste. Mais elle arrivait rarement à s'annexer ce lieu de délices situé dans une aile inhabitée de la demeure, baignée de lumière glauque et de fraîcheur particulièrement favorables au sommeil : Delia et sa mère l'occupaient à tour de rôle, sauf cet après-midi là, puisque depuis le matin elles étaient parties faire des courses en ville. Sadi — le mari de Délia — Chris, le frère de Sheila et de Délia, Chad Maddelin enfin, le chef de la famille, allaient choir sur des couches improvisées aux alentours de la maison : sapinette, fenil, voire même bûcher ou buanderie quand il faisait très chaud comme aujourd'hui…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire