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  • Auteurs: Danielle Steel
  • Auteurs: Louise Gravise
  • Auteurs: Paul Dargens

Joyeux anniversaire (Danielle Steel)

3,50 €
En ce premier jour de novembre, les anniversaires d'April, Valerie et Jack s'annoncent inoubliables. Célibataire, April est propriétaire d'un restaurant new-yorkais très réputé auquel elle se consacre corps et âme. Le jour de ses trente ans, elle reçoit un cadeau qui risque de bouleverser sa vie... Sa mère, Valerie, est l'animatrice vedette d'une émission de décoration. Obsédée par la jeunesse, elle ne peut pourtant pas éclipser la dure réalité : aujourd'hui, elle fête ses soixante ans. Célèbre journaliste sportif, Jack collectionne les histoires d'un soir avec de jeunes mannequins. Mais, au lendemain d'une nuit agitée, il inaugure son entrée dans la cinquantaine avec le dos bloqué ! Heureusement, peu importe le nombre de bougies, il n'est jamais trop tard pour prendre sa vie en main.

N° 1146 - Sacrifice de soeur (Paul Dargens)

3,05 €
Extrait : — Lucie ? — Madame ? — La gerbe pour le marquis de Saussaye est-elle prête ? — Oui, madame, si vous voulez venir la voir ?… elle est magnifique ! — J'en suis sûre, ma mignonne, puisque c'est vous qui en avez surveillé l'exécution. Mais est-elle exactement comme on l'a commandée ; toute d'œillets rouges ? — Séparés par une ligne de roses-thé, oui, madame… C'est étrange, c'est bizarre, mais c'est joli tout de même ! — Ce sera surtout triste pour celle qui le recevra ! — Triste pour Mlle d'Orfeuil ? Comment cela, madame ? En vérité, cette gerbe est splendide ! — Oui, mais elle signifie rupture. Voyons, Jeanne, cessez donc de bayer aux corneilles et arrangez-moi un peu cette touffe de liliums… Quant à vous, Margot, au lieu d'essayer d'entendre ce que je dis, mouillez un peu, très peu, ces fougères, puis rangez-moi votre papier ainsi que votre fil. — Oui, madame Hortense !…

N° 1698 - Quand l'amour veut vivre (Louise Gravise)

3,05 €
Extrait : — Le malade est perdu... Jean Lallier redressa sa haute taille, et foudroya du regard son assistant. — Je le sauverai ! Si vous flanchez, Lausac, allez ailleurs ! L'opération était assurément particulièrement délicate. Un massage du coeur avait déjà paré à une première alerte. Le patient était âgé et les réactions de l'organisme trop lentes. Le Dr Lallier l'avait prévu. Mais il fallait tenter cette intervention. C'était cela ou la mort inévitable. En toute conscience, il avait choisi. — Le coeur faiblit ! annonça l'anesthésiste, de sa voix calme, impersonnelle, comme perdue dans le silence blanc de la salle. Lallier sentait la sueur lui perler le long des tempes et tomber goutte à goutte dans son col, dans son masque… Un flot de sang jaillit d'une veine qui venait de céder sous une pince. Lallier leva les yeux et surprit un sourire narquois sur le visage de l'interne ; un jeune homme qui croyait tout savoir et se targuait de faire des diagnostics infaillibles…
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